PDV Livai :
Non... j'y croit pas... c'est c'est... C'EST UN FUCKING DIEU CE MEC ! De magnifique yeux émeraude, un visage enfantin et un teint bronzé... c'est un appel au viole ce gosse. Il faut qu'il aille dans mon lit. Tout de suite."Monsieur ? Vous allez bien ? Dit mon voisin tout en penchant légèrement la tête et fait une mine inquiéte.
-Oui.
-Vous êtes sûr ?
-Tch. Si je te dit que oui c'est oui.
-Dé-desolé ! Il est trop mignon à bégayer... Tiens ? Pourquoi mon coeur bas la chamade ?
-Tsss c'est pas grave.
-J-je suis désolé mon-monssieur...
-Ce n'est pas grave mais ne me vouvoie pas et appelle moi Livai, je n'ai que 25 ans. Plutôt 3999 ans mais bon.
-D'accord, mon- Livai. Mon Livai ? J'aime bien, nyark.
-C'est mieux. Tu va où pressé comme sa ?
-J-je vais à un rendez-vous organiser par un ami.
-Oh alors tu est gay ?
-*baisse la tête et rougis* O-oui... Mais on va juste parler de tout et de rien.
-Ne sois pas gêné, je le suis aussi.
-*relevé la tête tout en rougissant* C-c'est vrai ?
-Oui, puisque je te le dit.
-S-si sa ne te dérange pas, il faut que j'y aille...
-Dommage, j'aurais préféré te parler plus longtemps. On peut s'échanger nos numéros ? Je rêve ou je suis... gentil ?
-Bien sûr ! Mon numéro est 06 48 ** ** ** **.
-Merci. Le miens c'est le 06 34 ** ** ** **. Et en plus je dis merci... Je suis malade ? Faudra que j'aille voir Hanji.
-*commence à courir mais ce retourne* Livai !
-Oui ?
-*Dit au revoir de la main* À plus tard, je l'espère.
-Ouais, moi aussi. *Dit au revoir de la main*"
Eren partit en courants vers l'ascenseur. Je le suivis discrètement et pris l'ascenseur de gauche alors qu'Eren avait pris celui de droite. Arrivé en bas, je le vis courir vers le centre-ville. Je le suivis, toujours discrètement... dit comme sa, on dirait que je le stalke... Bas il ne le sauras pas, pas vrai ? Alors que je parler à mes amis imaginaires, je le perdit de vue. Je resta calme et le chercha du regard.
Je le trouva, assis à une table d'un petit café, Le mur Rose. Je me dirigea vers celui ci et entra. Je me suis assit à 2 tables derrière d'Eren, dos à lui. Je regarda sa nuque, mise à découvert. J'avais envie de lui faire un suçon. Lui souffler dans son oreille et de m'amuser avec l'obe de son oreille. Je voulais lui toucher les cheveux, les tortiller et lui caressez sa tête.
Je voulais être doux et tendre avec lui et lui montrer de l'amour... c'est sa, c'est l'amour. Je suis tombé amoureux... exactement de la même façon qu'avant. Mais lui, je pourrais le protéger. Je suis devenue assez fort désormais. Je ne le laisserais pas pleurer, je serais toujours là, à le câliner, à lui faire découvrir plein de chose, l'épanouir, le couvrir de mille gestes d'amour.
Je serais tendre, affectueux et protecteur. Il pourras me faire confiance, je ne le tromperais pas. Je serais fidèle. Un serveur me demanda ma commande, ce qui me coupa net dans mes pensées. Je pris un thé noir, ma vie avant Eren désormais, et le but lentement, très lentement. Eren était en train de lire un bouquin quand un mec avec une tête de cheval lui pris le livre des mains.
Eren pris une tête indigné et le cheval mis le livre sur sa tête comme un chapeau. Eren éclata de rire et le cheval sourit. Moi, je bouillonner sur place. D'OÙ il ose toucher mon bb ?! D'OÙ il pose sa main sur la sienne ?! Et enfin D'OÙ il ose mettre sa main sur la cuisse de MON Eren ?! Là, je vais faire un meurtre ! Qu'on me retienne. J'allais me lever et frapper celui qui osé filtré avec mon choux à la crème quand Eren se leva brusquement.
Je m'approcha discrètement, ce que je fait souvent en ce moment, et pût écouter leur conversation.
"-Jean, écoute. Alors ce cheval s'appelle Jean ? Je ne veux pas retourner en enfer, je suis très bien ici. Même si je ne sais pas contrôlé mes pouvoirs, je ne me suis encore jamais fait attaqué. À part l'ange tombé sur mon balcon, personne ne m'a retrouvé. Serait-il un... démon ? Mais je n'ai rien sentis...
-Attend ! Un ange ?! Il ne t'a pas blessé j'espère ?!
-Non, elle ne m'a pas blessé. Et puis elle est gentille.
-C'est quoi son nom, juste pour être sûr ? Merci, comme sa j'aurais son nom pour pouvoir faire des recherches sur elle.
-Mikasa. Elle avait des cheveux noir ébène et des yeux d'un noir profond.
-Mi-Mi-MIKASA ?! Attend, c'est l'une des anges les plus puissant depuis la naissance de la garnison d'exploration céleste ! Et tu veux dire qu'elle ne c'est pas rendu compte que tu été un démon ?! Mais j'y croit pas ! Elle est nul, cette ange...
-Bas enfaite... Je lui ait dit que j'était un démon mais que je ne tué et ne blessé personne, ce qui en vérité, est vrai.
-T-tu... tu me désespère *souffle* Comment je fais pour m'occuper encore d'un idiot suicidaire ?
-Parce que tu m'aime, hihihi. *rigole*
-N-ne dit pas de chose si embarrassante ! *marmonne* Et puis je ne t'aime pas en amitié, idiot, mais en amour... Toi, dégage. Il est à moi.
-Bon, j'y vais, Jean. Je dois aller en cours.
-Déjà ? Zut. J'aurais voulu que tu reste plus longtemps... Bah moi, non.
-*sourit* On pourras se revoir mardi si on veut.
-Après-demain ? Oui, pourquoi pas. On se tient au courant par message ?-Bien sûr, face de cheval *sourit, se lève, se dirige vers l'arrêt de bus et se retourne avant d'entrer dans le bus qui venait d'arriver* À mardi !
-À mardi !"
Après que Eren soit partit, le dénommé Jean se leva et sortit du café. Je décida de rentrer chez moi car je m'ennuyais et que chercher des infos sur ces 2 personnes qui ont osez s'approchait de mon choux à la crème est la priorité pour l'instant. Je me leva et posa de l'argent sur la table. Je me dirigea chez moi pour demander à Hanji des infos sur eux. Vous vous demandez qui est Hanji, pas vrai ? Est bien c'est....
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1001 mots, un peu court mais je préfère dormir ou me baigner, désolé. Et je suis sûr que ce chapitre est nul. Bon, je vous laisse patienter pour attendre la suite ! A plus !
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Demie-démon ou humain ? {Arrêté}
FanfictionIl existe quatre espèce : les anges, les anges déchu, les démons et les humains. Livai, un ange déchu depuis au moins 3999 années, s'amuse à torturer les anges. Bien qu'il ne les tues pas, ceux ci deviennent des coquilles vides de sens. Alors qu'il...