Mettez la musique lorsque vous verrez la petite étoile -**
<Il y a de ça 567 ans que la légende de Morticus à été conter pour la première fois. Les péripéties de cette histoire aura pu se dérouler il y a 600 ans de cela ou 100 ans, mais l'histoire n'aurait eu aucun sens et elle aurait été des plus clichés. Bref, je m'en rappelle c'était un mardi pluvieux et un matelot qui avait fait naufrage avec Cyril avait raconté sa mésaventure après avoir survécu des flammes, du naufrage et des requins. Solide ce gamin. Il racontait avoir vue son capitaine tuer son propre fils et partir dans une fumée de corbeau au loin avant que le navire ne coule complètement. Évidemment, tout le monde l'avait prit pour un fou! Personne ne mourait dans ce temps là! On l'a donc envoyer en prison régler sa folie! Mais, après les gens commencèrent à mourir là et ici et des maladies s'installèrent dans des villages sans aucunes raisons.>
C'était le matin, et dehors était des plus festifs joyeux et éclairés. Les villageois s'étant tous réveillés de bonheur parcouraient les rues à la recherche d'effets à acheter pour le dîner, le souper et le petit-déjeuner! La bonne odeur des brioches, pains et croissants régnaient dans l'air. Oh! Et il ne faut pas oublier l'odeur des bons fruits juteux, car oui, c'est un détail important à spécifier. Ma mère me disait toujours n'oublie pas de manger tes cinq fruits et légumes Thomas! Sauf que je n'ai pas de mère...ni de prénom d'ailleurs! Mais je suis sur que si j'avais un prénom et une mère, elle me dirait cela. Bref, je sors du contexte!
L'air joyeux de l'extérieur emmenait tous les villageois à sortir profiter du plein air, tout comme le petit Hendrick Alleyn, jeune aux yeux de ses parents mais vieux en réalité... enfin, bientôt jeune adulte. Il approchait bientôt la vingtaine! Hendrick parcourait les ruelles, pain à la bouche, à la recherche d'une vie rocambolesque. Il fallait l'admettre, Hendrick n'avait pas une vie si, déchaînée! Il vivait une vie tranquille avec ses deux parents, dans une maison aussi identique des autres qui l'entourait.
Mais soudainement, plusieurs cris de surprises et des voix graves résonnaient dans l'air, comme si quelque chose courrait dans l'allée de la rue. Effectivement, c'était un petit border collie qui courait à un telle vitesse qu'il effrayait les villageois. Hendrick, n'ayant prit connaissance de la présence du chien, restait là, à marcher en ligne droite jusqu'à ce que l'animal bondisse sur ses quatre pattes pour venir lécher le visage du garçon. Le choc fut si surprenant et si dure que Hendrick retomba en plein sur son dos, avec l'animal sur son ventre en train de gentiment lui lécher le visage.
<-Ahaha, mais que diable fais-tu?> Ria le jeune homme.
Lorsqu'il se redressa sur ses deux fesses, Hendrick aperçu un homme souillé au physique déroutant, le regarder d'un air terrifié. Hendrick le salua, d'un air un peu mal à l'aise et lui dit :
<-C'est votre chien?
-Non! Gardez le! Dit l'homme d'un ton impatient.
-Mais, il doit bien avoir un maître?
-Attrapez cet homme!> Cria des gardes rouges au loin.
L'homme souillé regarda derrière lui, et voulant essayer de s'échapper, un homme un peu plus vieux vint l'attraper, espérant recevoir une récompense en échange de l'homme que recherchait les soldats rouges!
<-Tu ne t'échapperas pas!> Dit l'homme inconnu, serrant brusquement les deux bras de l'homme déroutant.
Les soldats rouges arrivèrent enfin pour mettre les menottes à l'homme qu'il recherchait, le traitant vulgairement de pirate.
<-Allez pirate, la potence t'attends, ou peut-être préférais-tu la guillotine?>
Les soldats rouges se mirent à rire méchamment envers le pirate et l'emmenèrent, a l'aide d'une calèche et de barreaux solides, tout droit vers la prison du village. L'homme, ayant espérer une récompense, n'obtint rien en gage de son aide, pas même un peu de rhume! Déçu, celui-ci repartit en maudissant ces foutus soldats rouges ; toujours aussi impoli soient-ils!
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Pirate des Caraïbes : L'enfant maudit
Fiksi PenggemarAvez-vous peur de la mort? Cette chose dont on pourrait qualifier de fait, inexplicable, reste un sujet que la plupart évite. Certains en ont peur, d'autres, la défi et d'autres, préfèrent ne pas y penser. Tant de légendes racontent les méfaits qu...