Farouche.

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Ta peau cristalline luisant à la lumière, révélait ce doux sourire éclatant. Assis en terrasse avec une bière, je buvais tes paroles ardemment, tel l'adolescent que je ne suis plus.
Et depuis ce jour-là, je ne puis m'empêcher de penser à tes bouclettes. Si farouche que tu es, ton mélange d'insolence et d'impétuosité m'aide à redescendre. Comment de marbre rester face à tes défauts ? Je ne puis y répondre tant j'en suis obsédé. Probablement le savant équilibre avec tes nombreuses vertus.

Détruits moi, repousse moi, brise moi, sauve moi.
Sauve moi. Sauve moi. Sauve moi.

Mes Carnets d'Échecs : (Ré)Introduction à la vieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant