De cette démente sensation je suis dépendant
L'élixir est l'échappatoire à mon tourment.
Dirigé par nombre de pensées flouées
Mon esprit vogue au vent vers cette perversité.Je ne puis m'empêcher de contempler
Ses courbes si douces, si chaloupées.
A la fois chaleureuses et bien enrobées
Comme les joues bien rondes d'un nouveau-né potelé.Et me voilà, comme un con
Avec trois grammes dans le sang,
Souhaitant une bonne baston
Et leur faire perdre des dents.Exploser leur gueule contre le comptoir,
A tous ces prétendus amis qui me servent de défouloir.
Pour me faire tabasser et me rapprocher d'elle
A travers l'onirisme de l'inconscience,