chapitre 5: trahison

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Il ne restait plus que 6 semaine avant le bac. Shikamaru savait à quel point sa réussite au bac était importante pour Temari. Alors malgré sa difficulté à accepter la situation, il n'allait pas la laisser tomber.  Elle avait déjà compris tout le chapitre qu'ils avaient révisés ensemble et avait même obtenu un 18/20, soit la 2eme meilleur note. Sa aurait été trop facile si l'élève avait déjà dépassé le maître après tout. Elle n'était pas si nulle en math au final, elle n'a pas du oser poser les bonnes questions au bon moment. C'est ainsi que Shikamaru s'était decouvert des talents de professeur.
Puisqu'elle avait encore besoin de lui il ne la laisserai pas en plan.
Il avait perdu toute sa fierté, dorénavant Temari pourrait faire ce qu'elle voulait de lui si elle le désirait. Il etait totalement sous son emprise.
En s'avouant cela le brun soupira.
- C'est clair que j'ai perdu ma dignité...
Son oncle se roulerait surement de rire en voyant a quel point son neveu était devenu épris d'une femme. Féministe jusqu'au bout des ongles qui plus est.

De la fenêtre de sa chambre il était accoudé toujours avec une cigarette, une serviette autour de la taille car il sortait de la douche. La matinée était passé rapidement pour lui la phylo.. c'est tellement simple de faire gober ce que les gens veulent entendre qu'il n'y prette plus attention. Entendre les profs déblatérer des discours qu'il connait déjà par coeur sa l'ennui d'une force que sa ne l'aide pas a oublier ses tourments. Il avait donc roupillé pendant les 4 heures.
La nuit a été courte pour lui après les événements de la veille.
Shikamaru ne peut éteindre l'espoir qu'il a d'un jour lui appartenir.
Il secoue la tête. En effet il manquait de sommeil. La romance sa commençait vraiment à faire de trop dans son cerveau de génie ces temps ci.
13h00. Il lui restait une heure avant qu'elle arrive. Mais viendra-t-elle vraiment?
Elle ne fait qu'hanter ses pensés décidément. Il s'allongea sur son lit en rêvant de la nuit où il l' serrait dans ses bras sur ce même lit. Il était contraint de penser que ce n'était dorénavant qu'un rêve.

TOC TOC TOC.
Témari frappe à la porte mais personne ne répond. Elle entre, et voit son flemmard dormir paisiblement. Il avait du s'endormir en sortant de la douche. En le voyant aussi peu vêtu elle ne pu empêcher un frémissement lui échapper et le rouge monter à ses joues. Qu'il était bien foutue pensait-elle.
SA SUFFIT ,hurla-t-elle intérieurement. Elle se ressaisit et cacha les beaux abdos du bel endormi sous la couverture. Elle hissa ensuite son regard sur le visage de celui-ci dont les cernes le dévisageait presque.
Témari cru mourir en se rappelant qu'elle en était surement la cause.
Que faire pour réparer ses erreurs ou le soulager.
Elle décida de se rendre dans la pièce d'à côté, peut-être l'odeur du café le réveillera calmement.
Shikamaru se reveilla d'un bout.
-MERDE 14h15.
il tourna la tête à droite à gauche, en inspectant les lieu en panique. Le sac de Témari sur la chaise de son bureau, du bruit dans la cuisine. Il se lève, sa serviette tombe. Il la rattrape au moment ou Temari entre et voit tout.

-Je suis désolé, je voulais pas te reveiller alors je .. je.. begaya-t-elle toute gênée. Je te laisse, je t'attend dans la cuisine. Finit-elle en s'eclipsant de nouveau dans l'autre pièce.
Il s'habille en vitesse rouge de honte tout comme Temari complètement decontenancé qui se surprend à penser qu'il était incroyablement bien monté. Puis elle se met une claque en tentant de se calmer et reprendre son sérieux. Car la situation etait vraiment parti loin.
5 minutes après Shikamaru passe la tête par la porte de la cuisine.
-Excuse moi j'aurais du mettre un reveil. Je me suis pas vraiment organisé.
- Un peu comme d'habitude ria-elle encore toute cramoisie de façon a détendre l'atmosphère.
Oublions je t'ai fait du café pour me faire pardonner de mon intrusion pendant tes après-midi sieste.
Il souria gentiement et répondit
-Cool par ou on commence alors.
-hum je dirais les statistiques cette fois, monsieur le géni.
La bonne humeur était revenu entre eux. Peut-être qu'elle avait raison, peut-être qu'ils sont mieux comme sa. Pourvu qu'on ne la lui prenne pas sa muse.

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