Prologue

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( musique d'ambiance recommandée )

La nuit venait de tomber sur les maisons, le vent soufflait calmement.

Par la fenêtre d'un des bâtiments se tenait une femme aux traits doux et innocents, elle bordait un jeune enfant déjà presque endormi en lui chantonnant une berceuse.

"Fais de beaux rêves mon ange...", murmura cette dernière en embrassant le front de la petite.

Elle sortie de la chambre, en s'assurant de laisser la porte entre-ouverte pour que la lumière du couloir s'infiltre légèrement dans la pièce.

Doucement, elle descendit les marches de l'escalier qui séparait les chambres et les salles de bains du reste de la maison, un sourire serein aux lèvres. Son mari l'attendait dans le salon au coin de la cheminée, un verre de vin à la main. Il souriait lui aussi.

Dieu sait combien ils s'aimaient et combien ils se rendaient mutuellement heureux.

Oui, elle était la femme la plus heureuse du monde : sa vie, son mari, sa fille et chaque petits détails du quotidien l'emplissait de joie.

Elle s'installa dans le fauteuil qui faisait face à celui de son époux, toujours souriante "Frisk s'est endormie.", commença-t-elle en sirotant son verre.

"Bien," il souriait en observant sa femme d'un regard tendre puis fini par se lever. D'un geste confiant, il plaça un vinyle sur le tourne disque et mit en route une musique au tempo lent. Doucement, il prit le verre que sa femme avait dans les mains et le posa sur la table en verre, la faisait se lever et la rapprochant de lui en posant une main sur sa taille.

Ils dansèrent lentement, enlacés l'un contre l'autre, amoureux et sereins.

Comme ils étaient heureux.

Ils restèrent ainsi pendant plusieurs bonnes minutes jusqu'à ce qu'un bruit sourd se fasse entendre, les interrompant.

"Arthur... tu as entendu ?", murmura la jeune femme en tournant la tête vers la provenance du bruit.

L'homme serra son épouse plus fortement "Ne t'en fais, ce n'est probablement que le vent qui a fait claquer une branche contre la fenêtre mon cœur...", essayait-il de la rassurer.

Mais le bruit retentit une nouvelle fois, semblant se rapprocher.

Ils n'eurent à peine le temps de réagir que le bruit se multiplia et se répéta en avançant à une vitesse incroyable vers eux.

Tout ce que l'on pu entendre dans la nuit sombre fut le hurlement strident d'une femme qui se stoppa presque aussitôt qu'il s'éleva dans les airs.

Le lendemain, quand la femme de ménage vint sonner à la porte, personne ne venu lui ouvrir.

Inquiète et curieuse, celle-ci ne put s'empêcher d'ouvrir la porte–qui n'était pas fermée à clé–et de rentrer dans la maison. Elle regretta son geste presque immédiatement.

Quand elle arriva dans la salon, elle découvrit que le mur était enfoncé par des centaines de balles. En marchant un peu, elle ne pu retenir un hoquet d'horreur en découvrant le corps sans vie de ses patrons. La scène était macabre.

Du sang avait giclé jusqu'au mur au moment où les deux amoureux avaient chacun reçus une balle en plein milieu du front et la moquette, qui était auparavant d'un blanc éclatant, était maintenant immaculée d'hémoglobine.

Même après la mort, leurs mains étaient encore entre-mêlées.

La pauvre femme couru chercher le téléphone pour prévenir la police, encore sous le choc.

Elle fut tellement paniquer qu'elle ne remarqua pas l'enfant descendre les escalier, sans comprendre la situation. La petite entendit juste la femme de ménage répéter plusieurs fois les mots "sang" et "salon".

Avant que la vieille dame ne puisse la retenir, la fillette se rendit dans la dîtes pièce et poussa un cri de désespoir en découvrant le corps ensanglantés de ses parents.

Rien.

Les responsables n'avaient rien laissés qui aurait pu les incriminé, pas une preuve, pas une empreinte, rien.

Les seules choses qu'ils avaient laissées derrière eux étaient le cadavres des parents de Frisk, les douilles des balles et une inscription rougeâtre sur le parquet blanc que la petite eu juste le temps de lire avant que la femme de ménage ne ferme les portes de la salle.

Cette inscription tourna en boucle dans sa petite tête tandis que les sirènes des voitures de police résonnaient au loin.

"Golden Blood vous surveille."

-

Hello les filles, c'est vicky pour un tuto beauté !..

Eh non, merci au revoir, cette blague était nulle, je sais...

Je reviens aujourd'hui avec une nouvelle histoire qui sera basée sur MafiaTale.

J'espère que le prologue vous aura plu, car ce n'est que le début !

Le premier chapitre ne devrait pas être posté dans trop longtemps.

Bref, en attendant je vous souhaite une bonne journée ou une bonne soirée !

PS : JE VOUS ADORE ♡

MafiaTale - Golden Blood.( Sans x Frisk ) | EN PAUSEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant