Point de vue de Valentine
Je suis de bonne humeur ce matin, je viens de recevoir mon billet d'avion pour Londres. Je suis trop heureuse. Ce week-end, je vais mes amis, mes loulous d'amour et surtout l'homme de ma vie. Cette semaine, j'ai négocié avec les entraineurs pour ne pas être présent au match de ce week-end y compris à l'entrainement de demain. Vous allez me demander pourquoi, demain c'est un grand jour. Olivier fête ses trente ans. Je vais lui faire une surprise, ça fait deux semaines que j'organise ça avec Marine et Claire. Je pars au centre d'entraînement avec Dan. Il m'a l'air bizarre et ce n'est pas dans son habitude. Je m'interroge et il le remarque.
Dan: Qu'est-ce-qui se passe dans ta petite tête, ma petite soeur adorée.
Valentine: Je pourrais te demander la même chose.
Dan: Rien, tu vas me manquer ce week-end et même après.
Valentine: De quoi tu parles.
Dan: Tu n'es pas au courant ?
Valentine: Au courant de quoi, Dan. Tu me fais peur.
Dan: De rien
Valentine: Tu crois que je suis pas au courant de tes petites discussions avec Maxime.
Dan: Maxime est juste déçu que tu ne viens pas ce week-end.
Valentine: Je vais à l'anniversaire d'Olivier, c'est tout. Je reviens lundi aprèsmidi.
Dan: Pas sûr.
Valentine: Tu me fais vachement confiance. Comme Maxime, vous me dégouter.
Je sors de la voiture et rentre dans l'enceinte du centre sans même l'attendre. Il m'a enervé. Je ne vais pas avoir de réponse avec lui mais je vais tenter avec mon petit Maxou. Je rentre dans les vestiaires et m'assure d'être seule avec Machenaud car j'ai envie que cette discussion soit d'ordre privée. Cela tombe bien est en train de s'habiller pour l'entrainement.
Maxime Machenaud: Salut Valou, comment ça va ?
Valentine: Ca irait mieux quand tu m'auras expliqué toutes tes manigances avec mon frère.
Maxime: De quoi tu parles ? Quelles manigances ?
Valentine: Tu les sais. J'ai remarqué que tu me fais la gueule en ce moment.
Maxime: Non, je t'assure.
Valentine: Pas convaincue.
Maxime: Merde à la fin. Je te dis qu'il ne se passe rien derrière ton dos.
Valentine: Vide ton sac, Machenaud
Maxime: Quel sac.
Valentine: Vas-y, dis le fond de ta pensée. J'attends.
Maxime: Non dit-il d'un ton sec
Valentine: Vide ton sac, Machenaud. Bordel de merde.
Maxime: Je te reconnais plus Valentine. Tu as changé. On se racontait tout avant l'Euro mais plus rien. Depuis le début de la pré-saison, tu es ailleurs. Je dirais même tu es à Londres. C'est Olivier par-ci, Olivier par-là. J'en ai marre. Il est dans ta vie, depuis seulement trois mois. Tu es prête à abandonner toute l'équipe pour lui. Mais surtout m'abandonne moi et ton frère. Les coachs vont te convoquer et je sais déjà que tu vas accepter leur offre. Je n'ai aucun doute là dessus. Giroud est trop important pour toi pour que tu la refuse. Malgré que c'est une opportunité en or pour ta carrière. Sauf qu'elle est à Londres. Tu vas partir c'est inévitable. Je vais perdre ma meilleure amie. je commence à pleurer Je te considère comme ma petite soeur. Je sais que je suis protecteur et tu detestes ça. Tu vais me dire que je ne suis pas ton père, ni ton frère. Mais bon sang, si tu pars à Londres, ni l'un, ni l'autre seront là pour te protèger du starsystème du foot. Madame sort avec Olivier Giroud, tu vas devenir une matérialiste de merde, qui va arrêter de travailler pour profiter un max du blé qu'il gagne. Il gagne 7,4 million par mois. Cela fait environ cinq mois de salaire pour ton frère pour avoir juste un salaire mensuel de ton mec. Tu vas devenir une WAG pourie gâtée avec des goûts de luxe. Tu y connais rien à ce monde, tu vas souffrir. Ca se trouve, il t'ai déjà remplacée par une de ses salopes. Accepte l'offre que les entrainements vont te proposer, vit ta vie avec Giroud. Mais ce n'est pas la peine de revenir ici pleurer dans mes bras, parce que je t'aurais prévenue. Je le gifle
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Une All Black à Clairefontaine
FanfictionJe m'appelle Valentine Carter. En effet, je sais pertinemment à quoi vous penser, Carter comme le rugbyman néo - zélandais Dan Carter. Pour répondre à cette question, je suis sa petite sœur. Ce n'est pas facile tout les jours croyez moi. Aujourd'hui...