Sourire.

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" L'univers. Immense étendue méconnue en partie par l'être appelé Humain. Il ne peut être caché bien-sûr à la connaissance humaine et pourtant, malgré le savoir qu'il est possible d'en tirer, les Hommes ne cessent de ne voir que la partie qui leur est donné de voir. Ils ne souhaitent et ne veulent pas, malheureusement à mon avis, en savoir plus.

Pourquoi ?

Peut-être ont-ils peur de l'inconnue ?

Oui. Les Humains quoi qu'ils en disent ont peur de ce qui ne touchent pas à leurs connaissances. Sûrement dans le but de ne pas avoir affaire à une vérité plus que "boulversante" ?

Alors pourquoi seules certaines personnes cherchent à comprendre ?
Et pourquoi sont-ils dénigrés, incomprises ou encore leur vie vient à devenir une sorte de fardeau ?

Bien sûr ma vision de la chose ne s'applique pas qu'à l'univers (qu'il soit fini ou infini soit dit en passant, tel est la question !).

On peut très clairement l'assimiler aux comportements intellect humain. En effet, un être ne cherchera (presque) jamais au plus profond d'un autre. Car il ne veut pas voir la cruelle vérité en face. Les défauts, la morale qui diffère...
Ne se contentant juste du physique et de quelques points de caractère.

Ce phénomène est visible, je pense, nottament chez les couples (enfin sur certains). Au fur et à mesure du temps, tout devient désillusion. Car les penchants de l'un effraient la morale de l'autre. Ou inversement. Peut importe. Et, contrairement à l'univers, la conscience humaine, elle, est finit... Enfin je suppose. Et pourtant nous ne pouvons jamais ou nous mettons du temps à voir la face caché de notre vis à vis.

Mais en attendant notre subscontient sommeille patiemment comme l'extension de l'univers, pour ne pas rattraper nos plus sombres morales et pensés.

Alors oui je pense que l'être humain peut, en partie, être comparé à l'univers.

                                                27/09/2017
                                   Elizabeth SMITH"

L'article finit, la jeune trentenaire soupir puis s'ettend sur sa chaise en bois, loin d'être confortable à vrai dire.
Nouveau soupir, de lassitude cette fois, la femme n'avait que très peu fermé l'oeil de la nuit, beaucoup trop inspiré par le flot de ses pensés en ébullition. Dès le couché du soleil elle avait donc eu l'envie viscérale d'écrire.

Internet, pensait-elle avec égarement de son esprit (cela lui arrivait souvent après l'écriture d'un article complexe), une si belle et nuisible à la foit avancé technologique et sociale.

Cela allait faire cinq ans qu'elle avait fuit son pays natal, l'Italie, décidé à rejoindre l'Angleterre. Chose faîte à présent. Un si beau pays lui disait-on à l'époque.. se disait-elle avec une pointe d'amertume.

Vous vous demandez probablement pourquoi ce déménagement ?

Non.

Est-ce plutôt une autre question qui vous taraude ?

Elizabeth SMITH, en voilà un prénom et un nom peut commun pour une Italienne. Et bien nous pouvons dire que la femme avait besoin de changement.

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