chapitre 6

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Chapter 6

Couple : Harry / Drago (Genre on s'y attendait pas)

Rating : M

Bonne lecture !

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Je fus réveillé par Potter qui hurlait à dix centimètres de mes oreilles:

-DEBOUT!

Je me levai d'un coup et portai mon regard ensommeillé vers lui:

- Du calme, t'es chez moi Malfoy, tu t'en souviens?

Heureux de sa prestation, il partit d'un pas souple vers la cuisine. Je balançai les couverture sur le sol et étirait mon long corps:

- Tiens, tes vêtement.

Je reçus une boule de tissus sur ma figure:

- Il faut que tu sois présentable.

Je regardai le paquet composé d'un pantalon en lin noir, des chaussettes noires , une chemise blanche en coton, un gilet chemise noir et un nœud papillon. Je rentrai dans la salle de bain et me changeais :

- Tu es très classe, la-dedans.

Je me tournai et vit Potter, la tête passant par le cadre de la porte de la salle de bain:

- Mais laisse-moi m'habiller merde!

Je lui fermai la porte au nez. Je fis mon nœud papillon et sorti. Il buvait un café, vêtu d'un costard cravate élégant:

- Monsieur travaille .

- Oui, je fini avant toi, j'irai te chercher.

- Tu joues à la nounou, Potter?

Je pris un pomme et croquai dedans. L'eau sucrée coulait dans ma bouche dégageant une odeur délicieuse douce. Je mâchais doucement pour en profiter.

- Je te rappelle que tu es en examen sous surveillance.

Je soufflai alors qu'il finissait son café et crachait d'une voix énervée :

- Écoute, je ne pense pas que tu préfères subir cette mise en examen en prison.

Je frémis en y repensant.

- Et là, tu ne seras sûrement pas à la petite prison du ministère de la justice, mais plutôt à Azkaban.

- Ça va , j'ai compris.

- Donc ne fait pas n'importe quoi aujourd'hui et tu pourras rester ici.

- Pourquoi tu as voulu que je vienne chez toi?

- Secret.

Il me fit un clin d'œil. Moi je voulais lui péter la gueule:

- Bon allez, je t'y dépose.

Il posa sa tasse et me prit le bras pour me faire transplaner. Je fus devant le bar en un battement de cil.

- Tu te souviens, pas de magie Drago, tu n'as pas le droit.

- Je n'ai pas ma baguette.

- Pas de potion.

- Ouais, ça va j'ai compris.

Je me rendis compte qu'il me tenait toujours le bras. Il s'excusa et le lâcha:

- Bon je te laisse, passe une bonne journée.

- C'est ça.

Et il disparut.

- Pauv' con.

J'arrangeais mon nœud papillon. Autant en profiter, je ne suis plus en prison, j'ai un toit et un lit, des habits et à manger. Croquons la vie...

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