chapitre 1 voulez-vous vivre ?

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Chapitre 1

Disclaimer : les personnages de Harry Potter ne m'appartient pas, mais promis l'histoire vient de moi et moi seule!

Couple : Harry / Drago (Genre on s'y attendait pas)

Classement: M

Note de l'auteur : Salut, me revoilà avec une nouvelle fan fiction ! Elle sera assez courte.

Bonne lecture !

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Le tintement d'une clef me fit ouvrir les yeux. Je vis un homme - sûrement un Auror- qui me fixait avec dégoût. Il sourit salement. Alors un autre homme apparut à ses côtés. Il entra dans ma cellule et me prit par les cheveux. Mes précieux cheveux blonds. Il approcha son visage propre du mien, crade et puant:

- Coucou Malfoy.

Puis me balança dans ma cellule, les membres engourdis et bleuis par les nombreux coups reçus au fil des jours. L'homme ria et cracha :

- Sale monstre!

Je me tournai vers lui et le foudroyais du regard.

- Si j'avais ma baguette...

- Tu ne l'as pas. Tu ne l'aura plus jamais.

Il referma ma cellule. Je me relevai, les membres douloureux, et rangeais ma chemise et refit mes lacet de chaussures: je devais restait présentable. Je m'aperçus que mes bras tremblaient. Je secouai la tête. J'ai eu bien pire. Je m'assis sur la paillasse qui me servait de lit et attendit.

Après la défaite de Voldemort, tous les gens tatoués de sa marque était tués par le Baiser du Détraqueur. Et moi je devais attendre mon procès avant de mourir. Je devais attendre dans une cellule froide, sale, hideuse et sombre. Moi, un Malfoy.

J'en étais réduit à un vulgaire mage de bas rang. Je sentis alors quelque chose de froid et d'humide couler le long de mes joues. Je posai ma mains sur celle-ci et découvrit des larmes. Je les chassai violemment avec rage et criai:

- Non non non! Merde, fait chier, merde !

Je me levais et me ruai sur les barreaux de ma cellule pour les saisir et tirer dessus de toutes mes forces, les secouant en criant:

- C'est pas possible! c'est pas possible!

J'avais mal de partout. Mal de devoir mourir, mal de devoir vivre, mal de survivre. Mal, mal.... Je m'effondrai sur le sol de béton couvert de poussière, sur le sol de la cellule, qui me servait d'habitat depuis la fin de la guerre. Ce sol que hais, et que je connais par cœur qui me connais qui a entendu mes pleurs, mes cris, mes hurlement de douleur, de honte et de peur. Ma voix se cassait quand je vis des gouttes tomber sur le sol.

Je sentis de la bave couler le long de mon menton. Je ne pouvais l'accepter, je ne pouvais pas. Ma vue devint brouillée et je hurlais:

- Je ne veux pas, je ne veux pas, c'est pas possible!

Je frappais ma tête contre les barreaux en criant encore et encore. Alors j'entendis du bruit et je relevai la tête puis vit une forme apparaître. Un garde. Il me balança un coup de pied au visage. Je tombai à la renverse et senti du sang avec son gout âpre de fer et d'acidité, il m'emplit la bouche et inonda ma gorge. Je gémis de douleur et me recroquevillais sur moi-même:

- Ta gueule, sale mangemort !

Je gémis encore quand soudain, je reçus un coup de pied dans le ventre, telle une décharge, je sentis mes boyaux se tordre et je vomis sur le sol. L'homme pesta:

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