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↺Amelie.
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L'alcool coulant à flot dans mes veines ne m'aider vraiment pas. Je monte les escaliers avec grande difficulté. On peut dire que l'excitation et l'alcool ne font pas bon mélange chez moi. Justin du me soutenir en m'attrapant pas les hanches. Me refilant une avalanche de frissons dans tout le corps. Avançant dans le long couloir, je me retourne quelquefois vers lui pour lui lancer des regards qui se voulaient être coquins. Mais complètement raté vu qu'il levait les yeux au ciel et se moquer, sans gêne, de moi.
La porte fut à peine fermée que je me retrouve le dos collé contre celui-ci. La bouche de Justin contre la mienne. Mes mains en mouvement dans ses cheveux que je maltraite. Le faisant gémir à maintes reprises et me fis sourire fière de l'effet que je lui faisais. Je le fis reculer jusqu'à ce que ses genoux percutent le matelas. Sépare ma bouche de la sienne pour le pousser sur le lit, restant debout entre ses jambes. Il se redresse sur ses coudes pour avoir une meilleure vue. Nous sourions tous deux en coin. Je pouvais voir dans son regard et à l'état de son entrejambe à quel point il était n'en pouvais plus. J'imagine que mon regard est identique.
Une musique assez forte se fit entendre jusque dans la pièce. Je ferme les yeux me concentrant sur le rythme de celle-ci. Et mes hanches commencent instinctivement à se mouvoir. Je me retrouve désormais dos à lui. Tournant ma tête légèrement sur le côté pour l'observer par-dessus mon épaule. Il fixe le bas de mon dos, en se mordant violemment la lèvre, la léchant parfois.
« -Je ne sais pas vraiment ce que tu cherches ce soir. Mais tu es clairement en train de jouer avec mes nerfs. »
Murmure-t-il doucement, comme s'il voulait être le seul à l'entendre. Malheureusement, ou non pour lui ce ne fut pas le cas. Il tire deux trois fois sur le col de son t-shirt et sur son jean. Au niveau de ses cuisses. Je ne réfléchis plus. Je grimpe rapidement sur le lit, son corps poster en mes cuisses. Mon basin sur élevé le sien. Je n'avais établi aucun contact avec son corps. Jusqu'à ce qu'il pose ses grandes mains sur mes hanches, voulant m'inciter à prendre place.
