Agression

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J'hésitais un moment avant de rentrer. Je ne voulais pas être victime de messes basses de certains paparazzis. M. Armani avait l'air d'être en réunion. Cinq jeunes garçons voulurent entrer dans le restaurant, je me mis sur le côté pour leur laisser le passage. L'un d'entre eux siffla lorsqu'il me vit. Oh mon Dieu ! Qu'est-ce que je déteste les hommes comme ça. Ils avaient l'air d'avoir à tout casser vingt ans et ils commençaient déjà à être aussi mauvais, vicieux et pervers.

_"n'avez-vous donc pas honte de siffler comme ça une femme ?", dis-je en m'énervant.

L'un d'entre eux se rapprochait de moi jusqu'à ce que je me retrouve contre la vitrine du restaurant.

_"elle ferait mieux de se calmer la femme sinon je vais l'encastrer dans le mur !"

Non mais j'hallucine, les gens de nos jours sont devenus tellement mal poli. J'avais toujours rêver de faire peur à quelqu'un en lui faisant croire que j'étais plus forte que lui.

_"si tu me reparles comme ça je t'arrête pour agression sur agent de la C.I.A. Alors mon petit tu ferais mieux de te calmer. Il suffit que je passe deux trois coups de fils et t'es un homme mort."

Qu'est-ce que je me sentais puissante. Le gars ne savait plus quoi dire. C'est à ce moment là qu'il éclatait de rire avec ses potes. Je me sentais tellement mal, littéralement mal. À cause de ce léger stresse j'avais des nausées, j'avais envie de vomir tout de suite.

_"je ne me sens pas très bien", dis-je en essayant de retenir mon envie de vomir en pleine rue.

Le gars m'attrappa par le poignet et me geula dessus tout en me secouant. Je ne pouvais plus me retenir. Je me mis à vomir sur le côté, mais pas au sol, une main tendait un sceau, un sceau qui était censé être destiné aux glaçons. La personne qui me tendait le sceau me massait avec l'autre main le dos pour que je n'ai pas du mal à vomir. J'avais comme l'impression de déjà-vu où plutôt déjà-vécu. Lorsque j'eus finis, cette même personne me tendit une serviette pour que je puisse m'essuyer la bouche. Lorsque je relevais mes yeux, la honte je me retrouvais nez à nez avec M. Armani. Il ne manquait plus que ça ! L'homme, qui me secourait alors que j'étais dans un sale état, était l'une des plus grandes fortunes au monde. Qu'est-ce que je me sentais bête et gêné à la fois.

_"vous vous sentez mieux ? Venez je vais vous faire asseoir à une table. Vous devriez boire un verre d'eau", me dit-il d'une voix si douce, si poli et si... familière.

Je bus quelques gorgées d'eau tout en essayant de le dévisager discrètement. Il commandait de la glace à la vanille.

_"non je vous en prie ce n'est pas nécessaire. Je me sens beaucoup mieux. Et puis je me suis assez ridiculisé pour la journée."

Je me levais de table tout en lui remerciant. Mais il insistait pour que je me rassois.

_"si le monde qu'il y a tout autour vous gênes, on peut très bien aller dans un restaurant plus privé ou bien je peux même m'arrangeais pour vider celui là."

Attendez il n'est pas sérieux là ?! Il va vidé le restaurant pour moi ? Mais je suis personne pour recevoir ce genre de privilèges.

_"écouter c'est très gentil à vous de vouloir faire tout cela, mais cela ne sera pas nécessaire. Il faut que j'y aille. Je viens de me rappeller que j'ai une course urgente à faire !"

_"mais vous devez manger de la glace à la vanille, cela vous..."

Je ne le laissais pas finir sa phrase que je me dépêchais de fuire du restaurant. Je marcha tellement vite jusqu'à chez moi que j'en oublia de reprendre mon souffle. Je venais tout juste de finir de prendre ma douche que quelqu'un sonna à la porte. Il y avait une glacière devant ma porte avec un bouquet de rose blanches et une petite carte : " En vous souhaitant un bon rétablissement, je me permets de vous offrir la panoplie des nouveaux pots de glaces Ben & Jerry's pour vous remettre de vos nausées. Faites moi confiance vous vous sentirez mieux." C'était signé EA. Au début, j'hésitais quelques minutes sur l'identité de ce EA, mais ensuite je me souvins qu'Esteban Armani m'avait proposé de la glace alors que je me sentais pas bien. Je ne savais pas si je devais accepter ce cadeau ou pas ?! Il avait pris la peine de m'envoyer des pots de glace dans une glacière. Si j'accepte ce cadeau je vais devoir lui offrir quelque chose en retour. Et  je ne savais même pas où il résidait pour pouvoir lui rendre son cadeau. Et puis je n'avais toujours pas dîner.  Je décidais d'ouvrir un pot pour y goûter. C'était tellement bon que je finis le pot en une demi-heure devant la télévision. Je m'endormis devant la télévision avant 20 heures. Vers 22 heures, mon téléphone sonna.

_"allo ?", répondais-je à moitié endormis.

_"Jessica, c'est moi Alex ! Ne me dis pas que tu dormais de si tôt ?"

Oh non ! Pourquoi Alex m'appelle à cette heure ci ? Je n'étais pas d'humeur à discuté avec lui.

_"salut Alex ! Non, je ne dormais pas du tout. Je me préparais à aller me couché et ne plus quitter mon lit", dis-je en me mettant sous ma couette dans mon lit.

_"ah oui je m'en rappelles de cet époque quand on avait pas envie de quitter le lit. Quand on finissait au lit avant même le dessert..."

Et c'est repartie pour plonger dans des souvenirs que j'avais complètement oublier. Je ne penses pas qu'il devrait parler de ce genre de souvenir alors que je suis enceinte.

_"Je voulais t'invité à dîner demain soir histoire qu'on se rappelle le bon temps"

Il n'a pas perdu la tête ?!

_"Alex c'est pas contre toi, mais en ce moment je n'ai pas la tête à sortir le soir ou à rencontrer du monde. J'ai besoin de me reposer et d'éclaircir certaines choses", expliquais-je calmement.

_"oui je comprends très bien. Je me disais juste que..."

Il n'eut pas le temps de finir sa phrase que je lui coupa la parole.

_"Alex j'ai un double appel. Je te rappelle plus tard salut !"

Je raccrochais pour répondre au numéro inconnu.

_"bonsoir, qui est-ce ?", demandais-je.

_"bonsoir Mademoiselle Smith ? Je suis Esteban. Je ne vous dérange pas j'espère ?"

L'amour d'un mafieuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant