Pour des raisons de droits d'auteur, je ne vais pas montrer mes exercices suivis de la source originale. C'est un travail qui ne nécessite pas forcément de spectateur - même si un soutien extérieur peut s'avérer bénéfique, je vous l'accorde - alors, je préfère mettre la priorité sur l'allongement d'une proposition. Je vous met ici l'extrait du "Bazar intersubjectif" (tags) que je vais légèrement modifier à cet occasion - en remerciement pour la lecture, veuillez y trouver une anecdote sur moi-même, qui ne figure pas dans l'original - et donc, je vous souhaite une excellente lecture !
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En fait, quand j'assistais à une scène un peu gênante, dans un film ou autre, j'avais tendance à me boucher les oreilles, ou détourner la tête, ou trouver un moyen d'éluder les quelques minutes auxquelles je n'avais pas envie d'assister, quitte à paraître un peu... (insérer adjectif de votre choix car l'auteur ayant les ayant droits à savoir l'ombre Solivelle a éprouvé un sentiment qui nécessite une culpabilité postérieure que l'on nomme la flemme suite à une réflexion et une recherche de quelques minutes durant lesquelles il a fait un listing de ses possibilités concernant un autre numéro 5, en vain - car je ne crois pas que savoir que la forme de ma dentition, en faisant ressortir deux dents pointues à la mâchoire inférieur et supérieur, me donne aux yeux de beaucoup de monde l'aspect d'un vampire qui ne boit guère de cette précieuse substance vermeille vous intéresse - et une liste d'adjectifs susceptibles de convenir à la situation précise à savoir celle qui est écrite après l'amorce qui, bien que cachée par un grand espace - démesuré, soit dit en passant - ne vaut pas forcément le coup d'oeil, si tant est que vous soyez parvenu, lequetrice, lequeteur, - oui, ma langue d'avocat commence à pendre et se tromper à cause de cette phrase à rallonge dont l'auteur ou l'autrice je ne sais plus ce que c'est me porte à clamer haut et fort quoique plus fort que haut à moins que ce ne soit l'inverse à ou qu'il serait paradoxale de les dissocier - à arriver jusqu'ici tandis que mon associé a pris la parole - oui, là c'est mon associé, imaginez une autre voix dans votre tête, allez, plus vite que diable ! - et qu'il ne sait pas non-plus, monsieur Rain, comment réagir à cette chose immonde qu'est ce gros pavé de noir et de blanc, et l'on ne parle guère de racisme ici, mais bien de rhétorique alors je dois dire une chose qui est adressé à une ombre que plus jamais je ne veux revoir: Solivelle, cesse de parler !
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Entraînement: Littérature et Rhétorique
De TodoJ'ai mis ici les divers entraînements qui me servent, qui peuvent servir à tout le monde dans la pratique de l'écriture, de l'imaginaire. J'espère que chacun y trouvera son compte, avec un contenu qui change quelque peu du côté créatif que l'on peut...
