Prisoner Of My Own Body [ Tome 1 de SMSS ]

Chapitre 25 - Le viol

Bonjour, avant de commencer à lire ce chapitre, j'aimerai préciser une chose.

Ce chapitre peut se révéler être choquant pour les âmes sensibles : Comme vous pouvez lire dans le titre, il y aura un passage plutôt violent et ça, jusqu'à la fin de votre lecture. Je rappelle que tous les personnages sont fictifs et ne sont pas réellement comme ça dans la vie réelle.

L'auteure a décidé d'écrire une scène comme celle-ci, donc veuillez respecter son choix et ne pas la critiquer. Je ne fais que traduire. Toute critique sera signalée ou supprimée.

Bonne lecture à vous.

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 Je frappai trois fois et j'entendis sa voix me dire d'entrer. Vérifiant que l'emprise de la serviette cachait ma nudité, j'entrai dans sa chambre, laissant la porte ouverte.

- Ferme la porte, bébé. Demanda la voix venant du lourdaud qui était sur son lit. Sa tête ressortit et il me sourit, en prenant en considération ma nudité.

- Pourquoi as-tu verrouillé ma chambre si personne n'est à l'intérieur ? Lâchai-je, n'étant pas d'humeur pour des plaisanteries.

- Pour passer du temps seul avec toi. Maintenant, ferme cette fichue porte et viens là. Grogna-t-il.

Merde, il était de mauvaise humeur, notai-je.

- J'ai mieux à faire en ce moment. Répondis-je.

- Je ne pense pas. Gronda-t-il, avant de bondir hors du lit. Ses mains saisirent ma taille avant que je ne puisse réaliser quoi que ce soit, et il me tira sur celui-ci, pour me mettre au-dessus de son corps.

Je suffoquai, mes doigts se serrant pour agripper la serviette, afin de m'assurer qu'elle restait en place.

- Zayn ! Lâche-moi maintenant ! Fulminai-je, en luttant contre ses mains. Je ne suis pas d'humeur à ça !

- Et pourquoi devrais-je m'en soucier ? Rétorqua-t-il, ses doigts forçant les miens à se desserrer. Ce n'est pas comme si tu avais le choix, de toute façon.

J'essayai de le griffer, mais je finis par me retrouver à tirer sur son débardeur. Zayn enleva mes doigts de la serviette, et la jeta dans un coin après qu'elle ait glissé de mon corps. Me sentant exposée, je croisai les bras contre ma poitrine et levai les genoux contre mon estomac.

- Rien de tout cela. Gronda-t-il. Sortie de nulle part, il présenta une paire de menottes. Qu'est-ce qui se passait avec eux et leurs foutus menottes ?!

Il me renversa pour que je sois à plat ventre et menotta mes mains derrière mon dos. Je tortillai un peu et sa main se retrouva plus ou moins en contact avec mes fesses.

Smack !

- Aïe !

- Arrête de bouger ! Ordonna-t-il, sa main descendit une fois de plus sur mon derrière. Je gémis, me mordant fortement la lèvre. Je devais sortir d'ici !

Soudain, je roulai hors du lit et sur ​​mes pieds, bondissant vers la porte en étant nue, les mains nouées derrière le dos. J'allais ouvrir la porte, mais je me giflai mentalement. Tes mains sont derrière ton dos, débile.

- Je devine que ton plan ne va pas aller aussi loin que tu ne le pensais, n'est-ce pas ? Ricana Zayn, en s'allongeant sur ​​son lit, les bras derrière la tête. Soph. Viens dans le lit maintenant.