chapitre 37

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Bonne lecture !

Ilies: pourquoi tu ne pas m'a dit que tu l'avait vue

Je savais pertinemment qui savait. Mes yeux commence à ce remplir de larmes et une boule se forme dans ma gorge.

Maïssa me regarde sans vraiment comprendre

Moi: c'est ton ennemi c'est sa ?

Je dit avec la voix tremblante

Ilies: oui.

Je ne savait absolument pas quoi répondre

Ilies : Melissa répond s'il te plaît.

Moi : répondre quoi ? Tu sait qu'il étais là hier quand tu est partie. Je l'ai rencontré par hasard et m'a vie était en danger sans que je le sache. Il m'a dit droit dans les yeux qu'on se reverra Ilies. Je ne suis pas votre jouet, vous ne pouvez pas jouer avec les gens quand les choses ne vont pas dans votre sens.

Il ne parler absolument pas et j'entends seulement sa respiration à travers le téléphone. Maïssa me regardent et ne dit rien mais elle comprend de suite ce qui se passe. Je vois des larmes arriver à l'entrée de ses yeux.

Moi: mes frères le savent

Ilies :non mais faut qu'on leur disent.

Moi: non tu leur dit rien ces bon j'en ai marre

Je dit avant de raccrocher je regarde Maïssa et je m'écroule dans ses bras.

Maïssa : ça va aller

Elle dit en me caressant le dos

Maïssa : sa n'arrivera pas d'accord. Faut qu'on rentre en parler à t'es frère melissa il le faut.

Je me détache et lui fait un simple geste de la tête. Elle a raison je doit rentrer prévenir mes frères. Ils faut qui m'aide j'ai besoin de eux.

On se dirige vers mon appartement.

Maïssa : je préfère te laisser le faire seul je ne veux pas y assister

Moi : c'est comme tu voudras

Elle me serre dans ses bras. Et je la voit s'éloigner je sens une personne se coller derrière mon dos et c'était lui. Je le regarde sans même sortir un mot de ma bouche il pose ses mains sur mes bras j'essaie de les retirer

Lui : c'est tellement dommage que tu ne pourras jamais leur dire.

Il dit avant de me retourner pour mettre sa main sur ma bouche pour arrêter mes crie de secours. Je me débat mais il est beaucoup plus fort que moi. Je bouge dans tout les sens mais il me maintient bien fort contre lui.

Lui : je ne voulais pas te piquer mais tu le demande

Quand j'entend sa je bouge dans tous les sens avant de sentir une aiguille pénétrer dans mon coup. Je me calme d'un coup. Je sens mes paupières devenir lourde et se fermer rapidement sans que je n'ai plus aucune force pour me débattre. Et je perd connaissance

...

Je me réveille sans ouvrir les yeux. Mon corps repose sur un matelas, j'ai très froid là où je suis. J'ai du mal à ouvrir mes paupières. Quand j'entend des voix masculines

- PUTAIN elle dort encore il lui a mis quoi le patron

- la piqûre mais sa fait 2 jour quel dors

C'était 2 hommes qui était entrain de parler. Tout sa me rappelle rapidement mon premiers enlèvement. Ce jour là où je me suis retrouver par terre dans la même pièce chez ilies. Tout se ressemble et encore même ses deux hommes ici.

Melissa KindnapperOù les histoires vivent. Découvrez maintenant