[VF] Manga/Anime x Reader {Livre 2}

luxus draer [fairy tail]

• commande de Writing_fantasy ! Après un trop long moment je te l'ai enfin écrit cet OS, je m'excuse pour le temps d'attente. En espérant qu'il te plaise tout de même :)

• Je répète que je ne prends pas de commande, inutile de m'en demander que ce soit par commentaire ou par mp.

_______________

romance | action ✏️

Assise au comptoir du bar miteux où m'a donné rendez-vous une amie qui ne s'est toujours pas pointée. L'odeur de l'alcool mêlée à la sueur et au tabac est atroce et me force à me couvrir le nez de mon écharpe grise. Pour passer le temps, j'ai commandé un verre de limonade que je ne bois qu'à peine tant l'horrible atmosphère de cet endroit me répugne. J'ignore pourquoi elle m'a précisément donné rendez-vous à cet endroit tout en se permettant d'être en retard.

« Salut ma belle. » un homme puant l'alcool vient s'asseoir à ma gauche « Qu'est-ce qu'une jolie minette comme toi vient faire dans un endroit pareil ? »

Je me retiens de lui vomir au visage.

« Oi, j'crois qu'le gentil m'sieur s'adressait à toi. Sois polie et réponds lui. »

Cette fois-ci, c'est une femme–plus masculine que l'homme précédent–qui attire mon attention. Elle s'est assise à ma droite et de ce fait, je me sens étouffée par ces deux inconnus. Bien que leur physique menaçant fasse effet sur mon courage, je décide tout de même de les ignorer en espérant qu'ils se fatiguent et partent d'eux-mêmes. Seulement, on dirait qu'ils n'en n'ont pas la moindre intention. Pour preuve, la femme agrippe fermement mon poignet et me force à lui faire face. Je rencontre ses yeux d'un noir presque démoniaque et frissonne légèrement.

Elle le remarque et se met à rire. Un rire gras et désagréable que l'on à tendance à retrouver chez les vieux ivrognes ou les bourgeois hautains.

« T'as vu ça Ban ? La d'moizelle va s'faire dessus ! »

« Lâchez-moi ! » je m'exclame alors

Mon haussement de ton attire l'attention du barman qui demande aux deux lourdauds de me foutre la paix. Je saisis l'occasion de m'éloigner d'eux et quitte aussitôt le bar en maudissant mon amie, encore et encore. N'ayant aucun moyen de la contacter, je décide de patienter devant le bar. C'est alors que la porte de celui-ci (à quelques mètres derrière-moi) s'ouvre bruyamment et à ma surprise ; les deux brutes apparaissent. Je fais mine de ne pas les avoir vu mais lorsque j'entends le même rire gras que tout à l'heure, je comprends qu'ils m'ont vue.