Deuxième chapitre

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Enfin, ses le moment des au revoir. On est à l’aéroport, mes parents et mes grands-parents se donne à cœur joie à coup de bisou je parierai que je suis en ce moment même recouverte de trois rouge à lèvres différents, et une chose est sûre en dessous je suis rouge de honte car tous nous regarde bizarrement. Ça y'est, je suis dans l’avion, avec mon casque et mon téléphone. Je suis en train d’écouter mes chansons, mais je laisse vite tombait pour voir mes mangas. J'y consent mon style est un peu spécial mais ses ce que j’aime (manga morbide, d’action, yaoi,…). J’en ai lu ou vu tellement que sa en est incalculable. A ce moment-là une voie dit que nous somme arriver. Une fois dehors, un voiturier me réceptionne pour me ramener dans ma nouvelle maison. Sur le perron j’entend une voix inconnue s’adressé à moi.
  -Alors tu es la nouvelle voisine ? Comment t’appelles-tu ?
Je me retourne et aperçoit un jeune homme de mon âge caractérielle, brun, mate mais pas trop, les yeux bleu, il arborer un petit sourire en coin et il me touasse avec un aire amuser.
  -Ariel Baxter, et oui je suis t’a nouvelle voisine, et toi tu t’appelles comment ?
  -Sébastien Colin, alors tu habites seul ?
  -Oui j’habite seul, pourquoi cette question ?dis-je sèchement.
  -Simple question, à bientôt Ariel.
Il se tourna et parti dans la maison d'en face en trottinent.
A mon tour, je suis rentré chez moi. Il y avait déjà les meubles entre posée. Je suis donc allai directement dormir. Le lendemain mon père m’appela pour me prévenir que dorénavant j’aurai 500euros par mois. J’en ai donc profitée pour lui demander de nouveaux appareilles numériques. J’eu donc de nouveaux affaires à achetai, j’en profite alors pour aller faire les boutiques et me prendre de magnifiques tenus. Ses alors que je le revis, le jeune homme. Mon…voisin, mais là il était accompagné d’une jeune fille ravissante, rousse, le teint pâle, des yeux marrons mais avec une teinte rouge étonnent. Ils allaient si bien ensemble, mais ils avaient l'air de jouets un rôle gênant. Ses alors qu’il me remarqua, il sourit et s’avança vers moi, je choisie alors de partir pour un autre magasin en l’ignorent. Mais alors que je penser qu’il était reparti avec la fille, il entra dans le magasin suivi par elle. Il me trouva en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire.
  -Pourquoi tu m’évite ?
  -Je ne vous ai pas évité puisque je ne vous avais pas vus. Et d’ailleurs vous n’êtes pas le centre du monde.
Puis je suis sorti sens regarder derrière moi, tout en prient pour ne pas qu’il ne revienne a la charge.

Aujourd’hui son mon premier jour en tant que universitaire, je suis toute exister. Ma première école même si en fait ses une université. Je me suis habillait, préparée etc.…
Une foi sorti je voie une limousine dont le conducteur m’invite à entraits, alors j’entre et il m’amène à l’université. Mais le pire de mes cauchemar arrive, le voisin est la et me voix et s'approche de moi. Pour raconter la suite de mon cauchemar.
  -A tes aussi à Preston on et peut-être dans la même classe, donc tu es une nouvelle.
  -Bonjour, excuse-moi il faut que j’appelle mon père ses important.
   -Dac.
Je  me ficher du fait qu’il soit énerver mais il fallait que j’aille ailleurs, au bout de deux sonneries j’entendis un déclic.
   -Allo, ma chérie ses bien a Preston alors ?
   -Je t’en supplie père change moi d’université.
   - Non, débrouille-toi seul.
Et il a raccroché, et je m’écrouler. Sébastien ma bizarrement rattraper au vol. Me relevant je le dévisager, il avait de haute fossette, le visage en cœur, mais une pâleur que je reconnu aussi tôt.
  -Tu es un vampire ?
  -Oui, désoler
  - Pourquoi tu ne me l’as pas dit ? Mon père ses ça ? Il ta envoyer me surveiller, s’est pour ça qu’il n’a pas voulu me ramenai.
  -Oui, mais pourquoi as-tu voulut partir ?
-A cause de toi tu me troublais, ça me gainé trop. Je n’ai pas l’habitude d’avoir de la compagnie.
-Je vois, mais maintenant que tu sais tout on peut être ami ? 
Me sentent encore plus gainé, je lui dis bien qu’à contre cœur.
   -Non, désolée je peux encore moins car je suis venus ici pour justement m’éloigner du surnaturel.
    -Mais, je croyais que tu étais venu pour non pas t’éloignai du surnaturel mais de t’a famille qui te rappelle s'en c'esse que tu es différente ?
Fière de lui il arborer un grand sourire, et moi ne sachent plus quoi dire puis, je trouvai une excuse minable.
    -Tu à tort, je voulais m’éloigner de toutes les créatures surnaturel qui me connaisse car tous vus me le rappeler.
     -Nous ne sommes pas tous comme ça.
    -Mais tu vas commencer à réfléchir quand ? Ce n’est pas seulement quand on me le dit, mais aussi le fait de vous voire utiliser vos pouvoirs. Dis-je sur la défensive.
Les larmes vinrent sans me demander.
      -Parfois j’en deviens folle, car depuis mon enfance on me répète sens arrêts que le surnaturel ses ce qu’on appelle normal mais je ne le suis pas, je ne suis pas normal dans ma propre famille !
Et je fondis en larme, pour ma défense j’étais à bout de nerf et j’ai ouvert réellement mon cœur. Enfin pas trop non plus.
Il me prit dans ses bras et me berça, jusqu’à ce que je m’arrête de pleurée.
        -Désolé, je n’aurai pas du te pousser à bout si tu veux, j’arrête de te suivre.
Il sourit tristement.
  -Non, ce n’est pas de ta faute et eu… cette fille splendide avec qui tu étais ses ta petite amie ?
Gênait, je me suis détourner mais il ne me laissa pas faire, il me tourne le visage vers le sien et contre toute attente m'embrasse. D’abord je fus surpris, mais vite je me l’essai prendre et me donna toute entière a lui, je rie intérieurement car il fut surpris. Malheureusement il arrêta notre long baiser et toute essouffler je reprenais mon souffle, pendant que le parfait gentleman a mon côté se tenait les cotes mort de rire. Je lui donnai un coup que je veux fort pour qu’il le sente au moins. Nous nous relevâmes lui le sourire aux lèvres et moi rouge comme le sang dans les veines, ce qui lui plus (ses ça un vampire) car il me dit ;
      -Non, ce n’était pas ma petite amie et je ne veux personne a par toi, je t’aime Ariel aux faite se teint et a croquet.
       -Alors croque et je t’aime aussi. Et ou somme-nous ?
Amuser il fit un sourire mystérieux.
      -Au 7eme ciel, mon amour.
A mon tour je fis un sourire mystérieux.
      -Tu te trompe au contraire on et dans mon pire cauchemar.
Et je lui prend la main et le tire jusque chez moi. Je l’attire dans ma chambre.
-Voici mon monde, quand dis-tu ?
Il me regarda, puis regarda ma chambre.
      -Elle est magnifique, pourquoi ?
      -Ou habites-tu ?
     -A l’hôtel au coin de la rue mais pourquoi ?
Mon sourire s’agrandis.
     -En combien de temps tu peux déménager ?
     -En deux seconde.
      -Alors qu’attends-tu ? Déménage.
Deux seconde plus tard il était devant moi avec des valises, je lui et donc montrée sa chambre (ma chambre d’amis).Il fit alors une tête qui me fit rire au éclat.
      -Qui a-t-il, pour une fois c’est moi qui ris.
Toujours décontenancer il dit d’une voix étrange (d’outre-tombe).
      -Je croyais que l’on dormait ensemble, vu que tu m’as montré ta chambre. Désoler, si ses gênant mais ses ça.
Je me mit d’un coup à rire encore plus fort, il avait le visage déformé par la gêne, l’incompréhension et la peur du ridicule. Ce qui fit redoubler mon fous rire, mais à ce moment il explosa.
       -Mais pourquoi tu ries comme sa tu n'es pas sens-ai-être humble !?
       -Oui, en effet je devrai l’être mais je ne suis point de sang royal pour les humains et de plus si des créatures surnaturel mal intentionnées apprenait que j’étai en dehors du palais et donc en fragile posture je serai dans une délicate position. Interrompez-moi si je me trompe mais j’en doute.
Il me regarda bouche bée pendant une second, puis arbora un sourire étrange.
      -Tu à trouver sa en une second naisse pas?
Timidement je hoché la tête.
  - Et pour toute les répliques que tu ma sortie depuis le début?
      -Oui, mais ne leur dit pas, je t’en pris je change mais ils ne le savent pas et je ne veux pas qu’ils le sachent. Sinon ils vont me rapatrié, et, et je vais devenir définitivement folle.
Des larmes salées me coulèrent sur la joue. Il me dévisagea s'en gêne.
      -Tu ma donc menti. Tu m’as dit que tu as fuit les surnaturel mais tu en es un.
      -Tu te trompe je ne t’ai pas menti.

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