Troisième chapitre

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Aujourd’hui je me suis réveillé avec les canines qui me faisaient souffrir. C’était étrange donc je suis allé voir qu’en penserai Sébastien, arriver à sa chambre je toquai mais il ne répondit pas alors je partis donc en cuisine pour me faire un petit déjeuner, a cette instant il vînt à mon cotée me pris la main me reversa pour enfin m’embrasser. Mais il se passa quelque chose qui fit que je l’ai donc vite repoussé, a cette instant il fut décontenancer il se reprit donc vite.
      -Qui a-t-il tu as changé d’avis a mon sujet ?
        -Bien sûr que non, mais ses mes canines elle me fons souffrir. C’est pour ça que je suis passé à t'a porte.
Il parut perplexe ce qui me déconcerta.
        -Tu te moque de moi ou tu n’as vraiment pas compris?
       -Je n’ai pas compris, désolée. Dis-je gêner.
       -Et pourtant c'est logique, tu soufre des dents comme les bébés quand ils les fonds, ce qui veux dire que t’es canines pouces comme les vampires ce dans t’on cas peut aussi être des canines de garou.
Je faille m’effondré, mais je compris aussi tôt pourquoi je n’avais pas compris, ce n’étais pas de la débilités mais du renie. Voilà pourquoi je vois la peur comme un fardeau, ce qu’il est souvent. Mon téléphone sonna et je sursautai,  Sébastien me le tendit crisper mais avent de me le donné il me prévint.
        -Ne lui révèle pas mon existence.
         -Halo, qui est-ce ?
         -Bonjour Ariel chéri comment vas-tu ?
         -Le mieux que je puisse avec un père qui ne si intéressent pas, et vous mon chère père chéri ?
Il resta silencieux une longue minute.
         -Pourquoi a tu voulu partir, je t’écoute.
Là je compris que si je réponds mal Sébastien serait dans une très mauvaise position.
         -Un homme me faisait peur. Ou j’allai je le voyer mais pas grâce à vous je l’ai semée.
A cette instant il fit une chose donc je le croyais incapable, il rit, il rit au éclat à s'en décroché les mâchoires. Mon père a eu un fout rire, une chose impossible de sa part une chose qu’il n’a jamais fait depuis ma naissance. Je suis donc tombé à genou, éberlué.
   -Je suis désolé ma chérie pour ce ça. Habituellement je me contiens parfaitement, la preuve tu ne m’as jamais entendu rire. Alors pourquoi cet homme te faisait peur ?
Je ne pus émettre un son.
   -Ariel je sais que tu es secoué mais essai tout-de-même de me répondre.
Je ne dis rien.
   -Bon d’accord tu sais quoi je vais tout te dire cette personne est un mercenaire vampire que j’ai employé pour te surveiller mais je vais l’appelé pour qu’il arrête, a demain mon cœur. Oh, et ta mère te passe le bonjour, ciao.
    -Je sais, je l’ai perçai à jour car il m’a sauvé, rapidité. Il est avec moi et je l’héberge, je l’apprécie énormément, et il m’apprécie aussi. Au revoir père.
Je raccrochai et tombait à la renverse, et sombré dans l’obscurité attirante.

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