🥀chapitre20🥀

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Sira posa sa main sur sa poitrine . Elle était choquée.
-Tu...tu ne peux pas me faire ça .
-Mais je le fais pour toi.... je ne veux plus que tu te reiveilles en te disant que tu es dans un mariage forcé . Que ta famille t'as trahie. Je ne veux plus t'imposer la présence d'un malade.....
-mais comment tu peux dire ça ?
-Hey....pleure pas. Je sais que tu as pitié de moi. Mais écoute ça sera difficile mais je l'aurais cherche . Sûrement que je vais passer les premiers jours à me morfondre de ton absence à me couper la peau. Pour oublier cette douleur que je ressens déjà . Et dans ce cas , y'a deux solutions ou par miracle la douleur réussit à s'atténuera et je par iens à vire avec. Ce dont je doute...où je me coupe la peau jusqu'au jour où ça dégénère et que je meurs . Mais dans tous les cas , je l'aurais cherché. Ne t'en veux pas quoi qu'il arrive.
-Je....
-Sira j'ai parlé avec ton père nous deux nous avons faits des erreurs , nous le reconnaissons. Sira , je te rends ta liberté ..... Des demain, ton père s'occupera de rompre l'engagement religieux.
-Je ne veux pas.
-Pardon?
-Je.ne.veux.pas.
-Je croyais....fin j'avais compris que tu ne voulais pas de ce mariage.
-Tu as mal compris. *sec*
-je....
-Karim...karim....est ce qu'on peut ne plus en parler?
-enfin sira je ne comprends plus.
-PUTAIIIIN......Karim si tu veux que je te quitte , c'est simple tu.me.le.dis.
-Mais non, je serais l'homme le plus heureux et le plus comblé du monde si tu restes avec moi.
-Bien alors ne choisis pas à ma place. On peut rentrer?
********************
Des jours se sont écoulés . Le couple kasi ne parlait plus de cette altercation qui avait eue lieu entre eux. Bien sûr sira avait fait un tout petit peu la geule mais karim a trouvé le moyen de se faire pardonner . En parlant de ce dernier, il avait d'ailleurs repris son travail et semblait se porter comme un prince. Tous ceux qui le connaissent sont d'accord pour dire qu'il n'a jamais été aussi heureux. Sira avait pardonné à sa famille et commençait à leur parler. Elle était heureuse avec karim. Et considérait que si sa famille ne lui avait pas disons un peu...forcée elle ne connaîtrai pas ce bonheur aujourd'hui. Ce n'est pas pour leur trouver des excuses . Mais maintenant, elle était persuadée que chaque chose arrive pour une raison. Et même si elle a encore du mal avec Karim, il est persuadé que sa barrière de sécurité va bientôt céder. En même temps il est tellement chou.
Elle sortit de ses pensées et se mit à se manucurer les ongles assise devant la télé quand on se mit à sonner furieusement à la porte . Elle se leva précipitamment et ouvrit tout aussi précipitamment. Elle se figea quand elle vit Christiane . Son EX meilleure amie. avec une ARME à la main.
-Alors on fait la belle avec les mecs des autres.
-Ki...kiki qu'est ce que tu as?d'ou tu sors cette arme? Qu'est ce qui te prend?
-Ne m'appelle pas kiki. En vraie t'es conne toi. Tu as cru que tu allais me voler mon mec sans que je me laisse faire?
-Mais de qui tu parles putain....
-De karim...de MON karim.
-ton...ton karim?
-Bah....oui. Je l'aimais moi. J'allais réussir à conquérir ton cœur . Mais tu as tout gâchée . Tu vas me le payer.
Sira était tellement abasourdie et sonnée par la situation qu'elle ne trouvait rien à dire. En vrai quelle était la probabilité que sa kiki , sa meilleure amie , sa soeur la trahisse ça on peut comprendre. Mais qu'elle tombe amoureuse de son mari et qu'elle la menace . Non , ça c'est le monde à l'envers .
-Avance.....
-........
-t'entends ? Magne toi et suis moi. ......avant que je n'éclate ta cervelle d'une balle.
-Je ne crois pas que tu puisses me tuer.... et je ne bougerais pas d'ici .
-Tu es tellement prévisible .... je savais que tu ne me suivrais pas. Laisse moi te présenter .... face-de-rat.
Le dénommé face-de-rat entra dans la pièce . C'était un gros amas de chair . Un vrai body builder. Il empoigna fermement Le Bras de sira avant de la sortir de force dans la maison. Elle criait mais elle savait que c'était peine perdue car non seulement les domestiques avaient leur jour de congé mais aussi l'action s'est faite très rapidement. Une fois à l'intérieur, on lui banda les yeux. Elle eut le temps de dormir , de se réveiller de se rendormir et de se réveiller avant qu'on ne la jette dans un lieu humide et qui ne sentait guère bon. Elle ne pouvait pas voir mais elle en eut un aperçu quand une petite bestiole lui mordilla le pied. Elle se mit à hurler comme une folle quand elle reçut une claque super forte .
-Ne nous éclate pas les tympans juste à cause d'un pauvre rat qui de surcroît a plus peur de toi que toi de lui.
-un...un rat....y'a des rats ici.
-Oui des rats , des 🕷 araignées et des petites bestioles de toutes les sortes.
-JE VEUX SORTIR...........
Une semaine était passé depuis. Sira savait que c'était une semaine car on lui donnait à manger une fois par jour. Une fois par jour aussi elle sort pour faire ses besoins mais sans plus. Elle n'avait ni le droit de se laver ni de changer d'habit encore moins de se maquiller. Elle avait désespérée et avait fini par croire que personne ne la sauverait. Jusqu'à ce que la porte de la où elle était retenue s'ouvrit.
-alors qu'est ce que ça t'a fait de passer une semaine en mode Robin des bois. C'est ce que tu as toujours voulu non ? Aller à l'aventure ? hein ma robine ? Bah voilà je t'ai offert l'aventure. Mais ta petite escapade est finie. Je.vais.te.tuer.
-Christiane, Qu'est-ce qui s'est passé ? Tu as déjà enterré notre complicité , nos délires , toi et moi on est pas des amies , mais des soeurs . Pourquoi t'as autant changé ?
Sira aurait jure avoir entendu un reniflement .elle renchérît
-Tu pleures ? Kiki tu pleures? Tu vois , tu as un bon fond. Je ne sais pas pourquoi tu fais ça mais tu n'as pas du tout envie de le faire. Tout peut s'arranger.
-Non rien ne va s'arranger . Tu m'as toujours tout pris. La meilleure place au au collège , au lycée et maintenant l'amour de ma vie. Mais c'est fini. PARCE QUE JE VAIS TE TUER.......
Et puis tout se passa rapidement . Sira entendit une voix....SA voix. LA voix de karim
-TU NE VAS TUER PERSONNE......
En même temps, un cou de feu partit. Des cris fusèrent . Les sirènes de la police résonnaient au loin. Quelqu'un s'enfuit. Sira se mit à hurler . Un moment passa avant qu'elle ne sentit qu'on lui enlevait son bandeau. Elle fit face à un policier. Son regard dériva et son cœur sembla sur le point de sortir de sa cage thoracique. Karim était étendu sur le sol. Inerte les traits détendus . Crible de balles. La chemise rougie de sang .
Il s'était interposé
La balle l'avait touché
Karim l'avait sauvé
Au péril de sa vie....

Le goût de la trahisonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant