Oh dady

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J'ai connu les coups dur, et les désespoirs.
Ma vie endure échec sur échec.
Pourtant ce n'est pas toi que j'ai vu allongé sur ce lit d'hôpital.

Si t'a peau était de couleur blanche, j'aurais aperçu ton teint pâle.
Ton visage était crispé et ton sourire aussi faux que les nikes revendu au marché noir.
Tu te tordais de douleur, coincé dans ce lit inconfortable et dur.

A plusieurs reprise, j'ai imaginé ne plus jamais te revoir.
Les battements de ton coeur étaient rapides et irréguliers.
T'as tou sec accentué la douleur de cette opération.

Assise en face de toi je te fixais dans les yeux pour imprimé ton visage dans ma tête.
J'ai vu que tu essayais tant bien que mal de rigolé avec moi mais t'as souffrance re faisais vite sur-face.

J'avais envie de sauter sur ce lit d'hôpital, sur toi et te dire  :
« Il faut pas que tu me laches, j'ai besoin de toi »
Puis tu t'endormais et soudainement ton pou s'accélérer et ta respiration était coupé, j'accourais te donné de l'eau mais combien de temps allait durée cette mascarade.

Je ne sais pas si ce que tu as est mortelle, mais j'ai peur.
Je me cachais comme une enfant qui avait peur du noir derrière mon telephone pour verser quelque larmes.

J'aurais aimé que tu me consoles mais tu userai de tes forces pour quelques mots unitile, le son de t voix n'est pas celle que j'aime entendre.
Tu es faible, tu es malade.
Et ce n'est toujours pas fini.

Je fixais ce paysage que toi, tu vois chaque jours à ton levé depuis bientôt cinq jours.
Une image tellement sombre de la vie, des arbres mort sans fleurs sans soleil.

Je t'ai regardé, je t'ai fixé et je ne t'ai pas reconnu.
Tu avais tellement perdu de poids et ton visage...
Il était tellement vide.
Cette maladie te bouffe.
Je sais pas jusqu'à quand elle le fera mais si tu peux lui dire que je suis prête à prendre la relève.
Quelle peut venir me pourrir mais pas toi.

Un mois avant, je nous voyais assis entrain de critiquée diverse film et à s'embêter mutuellement comme un père et une fille.

Aura-t-on la chance de revivre des moments pareil..

J'ai besoin de toi, je veux encore apprendre de toi.
S'il te plaît ne m'abandonne pas, ne l'a laisse pas t'affaiblir.
Ne l'a laisse pas me faire pleuré, encore et encore.
Viens et fait moi rire.

J'ai plus envie d'avoir peur..

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