Je suis foutue si je contenue dans cette direction mais depuis le début en réalité c'est écrit. Je croyais en quelque chose qui n'allait jamais exister, pendant un moment j'ai cru que ce serait facile d'aimer. J'ai oublié ce que c'était de vivre, une vie seule pendant un instant ; j'avais oublié la solitude. Trop souvent, je me laisse aller et maintenant je ne sais quoi penser. Si je devrais être raisonnable, je demanderai qu'on m'efface la mémoire pour m'effacer cette douleur qui pèse lourd sur mon coeur. Ton visage est imprimé dans mon esprit, t'es ancré et il ne veut plus me lâcher. Les seuls choses qui me restent de toi sont tes photos, pour me rappeler que tu n'étais pas qu'une simple illusion, ni mon propre film. Chaque jours, j'imaginais ton départ mais je n'aurais jamais pu imaginer que ça se passe comme ça. Sans même un regard, un dernier au revoir, tu m'as tourné le dos, comme le ferais un lâche ; t'es un lâche. Il va falloir que tu t'effaces de mon esprit, j'ai fini par comprendre que tu es réellement parti. J'ai jamais voulu ça, mais depuis ce soir là, je subis.
Court,
Reviens moi,
Embrasse,
Sert moi fort,
Ne me quitte plus.
Ne me quitte pas, j'ai encore cette infime espoir, ne m'oblige pas à y renoncer. Je te sens tellement loins, pourtant je sais que tu es tout près. J'aimerais ne plus aimer, te haïr mais chaque amour est unique et le tiens dépasse tout les autres. Je n'ai pas eu de vrai première amour, mais je te considère comme le second. Le second parce que au final, t'as suivi les autres et tu m'as laissé.
T'étais mon assurance et maintenant, je perds pieds.
VOUS LISEZ
99% d'émotions
Poesía《 j'attrape mes mots sur un fils qui pend et les colles sur papier 》