J'pouvais y croire

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Au début ça partait d'un bon pied, j'y croyais tellement fort puis ça a commencé à devenir floue.
« J'aime le fait que tu sois originale dans tes actions, j'aime te regarder quand tu me vois pas, ça me permet d'imprégner ton visage histoire que je l'oublie jamais, j'adore tes petits sourires en coins qui font totalement craqués et tes lèvres quand elles jouent avec les miennes, ou même quand tu prononces le mot bébé, intérieurement, je fond. T'as un certain dons
pour me rassurer, me mettre en confiance chose que je n'avais plus connu depuis un moment, et ton dons incroyable à te faire désirer par mon coeur et mes hormones. »
Je me souviens cette nuit là, ou j'écrivais ce texte, ton texte un des plus profond que je n'ai jamais écrit, je vivais chaque mot que j'écrivais, je me laisser bercer par mes propres sentiments. J'y croyais dur comme fer jusqu'au jour où j'ai commencé à me demander si la douleur que je ressentais pouvez être pire. Ça aurait pu être l'effet d'un poignard dans le coeur mais à l'inverse c'est comme une aiguille qu'on te plante en douceur, c'est une foie bien planté qu'on ressent après la douleur. J'ai la haine. Pas cette colère pour avoir été conne non, la bile d'avoir cru aussi à un amour grand et fort. Je voulais juste connaître ce que les autres vivaient histoire d'y prendre goût.

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