chapitre 10: prideness

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pdv hayden:

< putain, putain, merde, figlio di puttana >
ça recommencait encore à couler.

il passe par la chambre de son frère et frappe brutalement la porte, avant d'y faire une entrée theatral, son frère jouait les yeux fermés un son grave et repossant de son enorme contre-basse. Mais comme il etait à bout de nerf fallait bien qu'il s'acharne sur quelqu'un.

-< oh !!! on est pas à l'opera Garnier ici, arrete de nous casser les oreilles avec bach et compagnie>

son frere ouvre enfin les yeux et tout en contituant à jouer lui souris, avant de refermer les yeux. Le Salop.

-< ton nez coule grand frere>

-< je sais fils de pute >

-< tu t'es fait taper ?>

-< non putain on ne m'as frapper idiot >
Il sourit et continu a jouer mine de rien, il detestait cette attitude de vieux sage que son frère pouvait avoir, genre il etait tellement intelligent, au dessus de toute futilitées.

-< batard > dit il en sortant de la chambre, enfin il s'était un peu déroulé.
Il doit maintenant trouver un putain de pansement dans cet saleté de manoir puisque évidement il n'y avait ni de ménagère ni de majordome, hein faut faire des économies hein.
Ah mais en parlant du loup, la voila qui essayait de faire la cuisine, tous les soirs il avait droit a un plat expérimentés, non pas qu'elle ne savait pas cuisiné mais lorsque l'on avait gouté au plat 5 etoile de sa tante c'etait difficile de retourner au basique.

-< mon dieu ! seigneur qui t'as fait ça mon fils ? qu'est ce qui c'est passé ?> elle

-< tu veux qu'on parte voir le directeur ? hein cheri on va voir le directeur, on va porter plainte? >

-< tu veux qu'il soit encore plus marginalisé >
fait son père sans lever les yeux de sa pastèque a qui il apportait encore plus d'attention qu'à son fils. ce n'est que quand sa mere lui retire la pastèque qu'il lève enfin les yeux vers lui.

-<mais on ne peut laisser le crime impuni >

-< calme toi c'est pas comme ci on lui avait perforé une artère > si c'etais le cas il ne serais surement pas apte a se tennir là. Pensa t-il tres fort mais sans jamais songer a le sortir devant son père. Le tout puissant.

-< mais il saigne, dit moi ce serait pas toi le medecin un peu...>

-<il me semble que tu as un doctorat aussi...tu veux que je lui fasses une ordonance ? >
son père se decide enfin à l'examiner.

-< il n'y est pas allé de main morte, t'as fait quoi pour meriter ça >

-< rien..>

-<....> c'etait un regard express qui disait clairement "évite de me prendre pour un con si tu tiens à ta vie "

-< je me suis assis, à la place d'un gars, et il a voulut recupérer sa place >

-< tu le lui as rendu ?>

-< non >

-<... la prochaine fois qu'il essayera de s'y asseoir frappe le plus fort >

-< arrête d'inciter mon fils a la violence, on ira voir celui qui t'a frappé et on va discuter avec ses parents, c'est quoi son nom de famille ?>

-< c'est rien que l'hospitalité du lycée de merde dans lequel vous m'avez forcé à y aller >

-< mais ils t'ont fait ça juste à cause d'une place ? ils t'ont lynché parce t'étais noir ? me dit pas qu'il y a des adorateur de KKK là bas, il y'en avait deja a mon époque > dit elle on se tournant vers son mari.

 unapologeticOù les histoires vivent. Découvrez maintenant