chapitre 1 : fallen

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Pdv hayden :

Poitrine contre torse, peau sur peau, un souffle irrégulier carressait son torse, un souffle dans lequel il pouvait  traduire la détresse, la peur, le refus

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Poitrine contre torse, peau sur peau, un souffle irrégulier carressait son torse, un souffle dans lequel il pouvait  traduire la détresse, la peur, le refus.
Mais il devait tôt ou tard se lever et affronter la réalité.
À moitié éveillé il savait qu'elle ne dormait pas, et s'attendait à cette foutu phrase qui allait briser leur ataraxie.




Il passa sa main entre ces long cheveux chatains, et descendit jusqu'à son visage l'obligeant à l'affronter.

-< Marie.....regardes moi... >

-<....va t'en > elle n'osa pas se retourna et continua de fixer le mur pour ne pas qu'il croise ses larmes.
Il se résigna dans un regard triste   et sorti enfin du lit, Pour  se diriger vers la salle de bain.

Il se regarda dans la glace en se disant qu'il était vraiment un connard. Après avoir remuer ciel et terre pour être enfin avec elle, il fallait que le destin vienne les séparer....

Non  ses parents, eux s' étaient des connards qui allaient les séparer.

Il était déjà 4 h quand il pénètra dans la douche, il fallait qu'il se lave de tous ces fluides corporels qui lui collaient à la peau, qui lui rappelaient ces ébats qu'il ne pourrait plus avoir avec elle ...Cette fille à qui il allait briser le coeur très bientôt...
Et dans quelques heures son merveilleux monde allait s'écrouler avec elle, son monde où tout lui était favorable.
Et il était impuissant face à ce changement radicale.
Comme toujours face à ses parents  ils etaient les Dieux de ce sinistre jeu auquel il forçait hauden à jouer, il netait qu'un malheureux pions

Comme toujours face à ses parents  ils etaient les Dieux de ce sinistre jeu auquel il forçait hauden à jouer, il netait qu'un malheureux pions

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Parce que ses parents parviennent toujours à leur fins. À le nuire par tous les moyens,  Pourquoi tout un coup décider de faire un 'regroupement familial '
ils se sont réveil un beau jour  ce souvenant qu'ils avaient des enfants et quil était peut etre temps de les voir plus d'une fois par an.

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