Je te veux. | FREMIONE

Chapitre 12.

Hermione ne resta pas longtemps chez ses parents cet été-là. Pour une fois, au moins, ils comprirent et ne s'opposèrent pas. Ils avaient étés très compréhensifs depuis la scène dans l'infirmerie. Sa mère lui avait même posée des questions à propos de Fred. "Qui était ce jeune homme ma chérie?"

"Fred." Elle ne donnait que des réponses courtes ces temps-ci, ce qui avait inquiété ses parents. C'était tellement contraire à son comportement habituel.

"Est-ce que ce n'est pas un des jumeaux dont tu m'as parlée dans tes lettres plus tôt cet année? Ceux qui te donnais du fil à retordre?"

"Oui."

"Je vois. Tu as l'air d'avoir passée par-dessus ça depuis." Mme. Granger essaya de sortir Hermione de sa bulle. "Est0ce que tu sors avec lui?"

"Oui." Sa mère soupira et Hermione ferma les yeux. "Je suis désolée maman. Oui, on sorts ensemble. Il est vraiment merveilleux une fois que tu t'arrêtes et que tu apprends à le connaître. George aussi." Sa mère lui sourit, c'était le plus qu'elle avait dit depuis son retour à la maison.

"Il a l'air de bien t'aimer." Hermione soupira au souvenir de ses bras autour d'elle.

"Je l'aime bien aussi." Elle murmura. Elle leva les yeux vers sa mère qui lui souriait largement.

"Je suis heureuse que tu ais quelqu'un qui sera là pour toi." Sa mère lui donna un baiser sur le front et s'essuya les yeux quand elle sortie de la pièce.

Hermione était assise à l'arrière pendant que ses parents la conduisaient au Terrier. Elle avait toujours l'impression que la route pour se rendre à la maison de ses amis prenait une éternité alors que ce n'était en fait, pas très loin. S'arrêtant à l'avant de la maison, Ron et Ginny vinrent l'accueillir.

Elle passa la plus grande partie de la semaine suivante à s'ennuyer. Fleur Delacour lui tombait vraiment sur les nerfs, la traitant comme un petit enfant, presque aussi pire que ce qu'elle faisait à Ginny. Les deux jeunes filles se cachait souvent dans un effort pour s'éloignées de la beauté Française. Mme. Weasley les traînait avec elle aussi souvent qu'elle le pouvait, dans son propre effort pour ne pas se retrouver seule avec sa future belle-fille. Ron, d'un autre côté, se portait volontaire pour faire n'importe quoi, si ça voulait dire qu'il pourrait peut-être passer un moment en sa compagnie.

Pendant une journée particulièrement ennuyante, Ginny s'était prendre par sa mère et forcée d'aider à préparer le dîner. Hermione s'était enfuie de justesse avant que Mme. Weasley puisse l'attraper elle aussi. Ron s'était porté volontaire pour mettre la table. Alors, Hermione s'était retrouvée seule avec rien à faire avant le dîner. Elle s'était presque convaincu qu'elle devrait aller les aider quand quelque chose de lourds lui tomba dessus en provenance d'un coin de la chambre de Ginny. Elle laissa échapper un cri de surprise quand le corps la plaqua contre le lit. De doux cheveux roux lui chatouillèrent le menton tandis que le garçon s'arrangeait et s'appuyait sur ses coudes pour mieux la regarder. Elle eue à peine le temps de reconnaître Fred avant que ses lèvres n'attaquent les siennes. Après qu'elle se soit remise du choque de sa soudaine attaque, elle l'embrassa avec ferveur, mêlant ses doigts dans ses cheveux. Malgré le fait qu'ils étaient sur un lit, ou peut-être parce qu'ils étaient sur un lit, il garda sa main strictement sur sa joue même quand son corps la pressait dans le doux matelas. Elle fit glisser sa main le long de son dos et légèrement sur ses fesses, curieuse de savoir si elles étaient aussi bien découpées que le reste de son corps. Il cambra ses hanches contre les siennes en guise de réponse, lui coupant le souffle.

Les hanches de Fred avaient réagis par elles-mêmes quand Hermione lui avait prit les fesses. Aux lieux de s'éloigner comme il aurait qu'elle aurait faits, elle souleva ses propres hanches pour pouvoir se presser contre lui. Il se demandait si elle se rendait compte de ce qu'elle faisait. Il tenta de résister au désir qui montait en lui, mais la main d'Hermione, au contraire, le poussait vers elle. Sans briser leur baiser passionné, il s'essaya à se frotter contre elle une fois. Elle gémit dans sa bouche et se tortilla encore sous lui. Il l'embrassa dans le cou tout en continuant à se frotter contre elle à répétition. "Fred!" Elle devait reprendre son souffle. "Fred, arrête." Elle gémit doucement quand il se mit à sucer son cou. Il s'éloigna légèrement, le souffle légèrement saccadé. "Oh mon Dieu." Hermione, qui avait le visage rougit, mit sa main sur son front comme pour vérifier si elle avait de la fièvre.