Chapitre 20.

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Samedi se pointa brillamment et Hermione se leva pour son habituelle routine matinale. Elle descendit prendre son petit-déjeuner, longtemps avant que la plupart des autres Griffondors ne soient levés. Manque de chance, Parvati s'était levée de bonne heure également et avait réveillée Lavande pour qu'elles puissent harceler leur colocataire. Hermione s'assit à sa place habituelle à la longue table. Un coup à la table du personnel lui montra que la plupart des professeurs dormaient encore. Ses yeux croisèrent le Professeur Dumbledore mais retournèrent vers lui rapidement. Il était assit aussi normalement que n'importe quel autre jours, mais il regardait directement vers elle, ce qui n'était pas dans ses habitudes. Elle attendit qu'il lui fasse un signe de reconnaissance ou quelque chose mais il continua tout simplement à lui sourire et resta assis silencieusement. Se sentant troublée par ce regard, Hermione essaya de manger son toast et ses céréales le plus rapidement possible, seulement pour être interrompue quand ses copines de classe s'assirent en face d'elle.

"Hermione, est-ce que je peux te poser une question?" Parvati commença, mais continua sans attendre qu'elle réponde, "Tu vois, nous avons entendues des choses à propos des jumeaux."

"Nous espérions que tu puisses nous éclairer sur quelques points." Lavande se pencha par en avant et ses cheveux balancèrent dangereusement près d'un bol de porridge. Hermione les ignoras, enfonçant son toast dans sa bouche pour s'empêcher de leur dire ce qu'elle pensait vraiment d'elles. "Eh bien, Christy Banner de Serdaigle dit que les jumeaux sont identiques."

"De toute évidence." Hermione ne put s'empêcher de rouler des yeux en les entendant.

"Alors, tu les as vus tous les deux?" La mâchoire de Parvati se décrocha. Les filles joignirent leurs mains et se mirent à sautiller dans leurs sièges en émettant des couinements. "Oh mon Dieu, Hermione. Comment est-ce qu'ils sont?"

"Est-ce que tu les as vus en même temps?" Lavande se mordillait la lèvre, ayant l'air beaucoup trop excitée.

"Où est-ce que vous voulez en venir?" Hermione savait qu'il lui manquait des bouts de la conversation.

"Comme si tu ne le savais pas. Alors, est-ce que tu as couché avec les deux?"

"Où est-ce que tu as seulement vue George tout nu? Est-ce qu'ils étaient mouillés?"

"Oh! Est-ce qu'ils se sont mis nus en même temps, pour que tu puisses comparer?"

"Vous êtes complètement malade mental. Je n'ai jamais vus aucun des deux sans vêtements. Non, je n'ai pas encore couché avec Fred et certainement pas avec George." Elle sentait la colère monter en elle mais arrivait à se contrôler pour garder sa voix basse. "Maintenant, la prochaine fois qu'une de vous deux pense à me poser des questions aussi ridicule, je vais vous jeter un sort."

"Mais tu es une préfet." Lavande fit la moue.

"Très bien, je vais vous donner une retenue après vous avoir jetée un sort." Elle avala sa dernière gorgée de jus de citrouille. "Est-ce que c'est clair?" Les filles hochèrent la tête et elle quitta la table avec un sourire sur le visage. Elle alla à la bibliothèque où, avec de la chance, elle pourrait rester assez occupée pour l'empêcher de penser à Fred. Elle était encore désappointée qu'il ait été avec Alicia. Elle soupira en ouvrant un énorme livre.

Elle savait que ce n'était pas bien de lui en vouloir comme ça. Il ne sortait pas encore avec elle à ce moment ; en fait, ça c'était passé un an et demi avant qu'il ne demande à Hermione de sortir avec lui. Une partie de la raison pourquoi elle était aussi bouleversée était qu'elle savait que jamais elle ne pourrait se comparer à la magnifique joueuse de Quidditch. En plus, elle n'avait aucune idée de ce qu'elle devrait faire quand le moment serait venu. Si ça arrive un jour. Elle avait embrassée un total de trois garçons dans ses presque 17 ans de vie. Jeff Phelps était son premier baiser, il était son voisin moldu. Ils avaient l'habitude de jouer ensemble avant qu'elle ne commence Poudlard. Ça c'était passé l'été après sa troisième année ; il venait la voir à presque tous les jours à la balançoire dans le fond de son jardin. Un jour, il avait attrapé son livre et l'avait lancé à l'autre bout de la cour et avait planté un baiser baveux à moitié sur sa bouche, à moitié sur son menton. Elle l'avait repoussée et avait refusée de le laisser venir chez elle depuis.

Je te veux. | FREMIONEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant