Coup de Foudre (Sans Fin)

Prologue

An 1778

Le pénombre s'était déjà élevé sur Paris. Nombreuses personnes dormaient en sécurité chez eux, certains veillaient car le sommeil manquait, d'autres travaillaient et une minorité profitait de ces ténèbres pour participer a leur activités nocturnes.

Le ciel était couvert de nuages noires, empêchant la lune d'éclairer la nuit.

Un homme marchait dans les ombres des rues sales de la ville jetant des coups d'œils autour de lui pour être sur de n'être pas suivi. L'homme était anxieux, il avait des bonnes raisons de l'être. Car durant la nuit, quand les hommes dorment, les monstres font surface et s'en prennent a des cibles faciles...

Soudainement un homme encapuchonné surgit d'un des ruelles étroit de la rue principale et se jeta sur l'autre homme. Celui dont le visage était caché réussit a facilement assommer sa cible. Il a traîné le corps inconscient de l'homme dans la ruelle dont il était sorti et quelques minutes plus tard, il en sortit en portant les habits de sa victime.

Il marcha un bout de chemin avant d'arriver devant un bar, fermé au premier coup d'œil. Le garcon frappa à la porte trois fois en faisant une pause de trois secondes entre un coup.

La porte s'entre ouvrit et un homme, âgé à priori de vingt ans lui demanda un mot de passe.

Le garcon murmura une phrase.

"Rentre." Dit-il satisfait de la réponse donnée.

L'homme l'accompagna jusqu'à la porte du sous sol. À l'intérieur, l'air était a la limite irrespirable tellement qu'il y avait de la fumée émanant de cigarettes ou d'autres drogues. Au milieu de la salle se trouvait un ring de boxing illégal. Esclaves forcés a se battre jusqu'à mort s'en suive, femmes impuissants forcés a combattre un colosse, des combats horribles et immoraux. Plusieurs personnes étaient réunis autour du petit ring qui se trouvait au milieu de la salle et pariaient pour la survie du plus fort. Le garcon encapuchonné n'avait qu'une seule envie. Partir, ignorer ces horreurs. Mais c'était sa première mission, il fallait qu'il la réussisse, il fallait qu'il ne déçoit pas son maître.

"Rappelle toi, on le fait pour le bien de notre ville. Même si certains de nos actes sont horribles, ils sont nécessaire pour un futur meilleur. Compris gamin?"

Il l'avait compris depuis longtemps. Il est un assassin. Le choix est simple dans ce metier. Tuer ou se faire tuer.

Il survola du regard la salle et vit le patron assis sur une chaise au fond protégé par deux gardes de corps. C'était lui la cible. Un noble ayant une influance politique plutôt grande, faissant des prommesses que la vie deviendra meilleur dans la ville grace a ses action. Une simple couverture pour cacher ses activités favoris. Ses victimes? Il proposait du travail, un refus et la personne qui s'est présenté pour le poste deviendra un des combatants. Les esclaves venaient d'autres pays, la majorité des femmes.

L'assassin avait l'impression que la rage le consummait, lui disait de tuer cet homme a la seconde même sans aucune hesitation, mais il garda son calme. La patience était un outil très important qui est un des meilleurs outils dans la disposition d'un assassin. Il fallait attendre le bon moment.

Il marcha à travers la salle et s'est assis sur une chaise dans un des coins de la salle. Il voyait tout ce que le "Noble" faisait.

Après plusieurs minutes, un autre homme qui portait des habits de haute qualité rentra dans la salle et se dirigea vers la cible du garçon.

Les deux semblaient se connaitre.

A peine quelques secondes plus tard les deux hommes prirent les escaliers pour monter au bar et de là, monter au second étage pour arriver dans les quartiers privés du propriétaire du bar. Ils s'avaient besoin d'être seul.