Coup de Foudre (Sans Fin)

Chapitre 4

Le soleil se levait. La fête s'était terminé d'un coup des heures avant la fin officielle. Un assassin avait tout simplement fait irruption. Des gardes faisaient leur rondes vingt-quatre heures sur vingt-quatre pour assurer la protection de la victime qui avait, par miracle, survécu à la confrontation avec le tueur.

On avait demandé qu'elle se repose. Mais elle ne réussit pas a fermer l'œil de toute la nuit. Elle avait trop peur, peur de fermer ses yeux pour les jamais rouvrir.

La jeune femme regardait le soleil se lever depuis son lit.

C'était une des premières fois qu'elle voyait le soleil se lever, le ciel rosâtre, la source de lumière orangée, et les nuages éclairés d'un côté et sombres de l'autre. Après tout elle avait pas l'habitude d'être réveillé à cette heure ci. Il était six heures du matin.

Marinette soupira. Elle n'était plus en danger. Elle était protégée par elle ne savait même pas combien de gardes. Une dizaine ou une vingtaine peut-être.

Mais pourtant elle n'arrivait pas à dormir

Elle avait réussi s'assoupir une seule fois durant cette nuit. Et dans ce somme de même pas une heure, elle avait eu un cauchemar. Les yeux émeraudes reflétant aucune émotion, la dague, l'histoire se finissait autrement qu'elle s'était fini hier.

Mais malgré tout, elle ne comprenait pas pourquoi on voulait la tuer, non, surtout pourquoi l'homme ne l'avait pas tué?

Il avait tout le temps de le faire mais il a décidé de s'échapper et se faire repérer.

Peut-être que c'était la première fois qu'il faisait ça? Peut-être il a réalisé au dernier moment que tuer était pas la solution? Se sentait-il coupable?

Tant de questions qui resteront sans réponse.

Soudainement, quelqu'un frappa à la porte.

"Entrez." Dit Marinette.

Son père est rentré dans la chambre.

"Désolé de te réveiller si tôt..."

"Ne vous inquiétez pas père... J'ai pas réussi à dormir de la nuit."

"Ah... Je vois..."

Il eût un moment de silence où personne n'osa pas vraiment parler. Le sujet de ce qui s'était passé hier soir était encore un peu délicat.

"Donc... Je voulais venir t'annoncer quelque chose." Commença enfin son père.

"Quoi donc?"

"Je t'ai embauché un garde de corps. Il a été entraîné depuis son plus jeune âge, tu ne devrais plus être en danger."

Marinette avait des doutes. Son ancien garde du corps avait été vaincu, quel était la différence entre lui et le nouveau?

"Félix, vient te présenter."

Un homme habillé majoritairement en blanc est rentré dans la chambre. Il avait des cheveux blonds pâles et des yeux bleus. Il devait surment avoir l'âge de Marinette.

Mais ce qui frappa la jeune fille était pas que son garde de corps était fort ou costaud mais c'était le fait qu'il était beau.

"Enchanté mademoiselle. Je m'appelle Félix!" Dit il en souriant.

"E-enchanté..."

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Adrien était assis sur la chaise devant le "bureau", qui servait plus de chambre que d'autre chose, de Plagg.

Pour la première fois dans longtemps, il se sentait oppressé, stressé par la réaction de Plagg. Il n'avait jamais été aussi énervé contre lui.

Son regard était noir, son souffle irrégulier, à vrai dire, il faisait peur a voir.

"TU AS QUOI?!!!" Hurla Plagg.

"J-j'ai... Comment dire... J'ai pas tué la cible car elle était innocente?"

"INNOCENTE?!! C'ÉTAIT ÇA TA RAISON?! «CAR ELLE SEMBLAIT INNOCENTE?»"

"Je te le jure!! Elle n'était pas comme les..."

"Adrien, on avait besoin de cet argent, tu devais tuer quelqu'un de facile est sous le prétexte qu'elle soit innocente tu abandonne la mission?!! Non seulement on a perdu l'occasion de restabiliser notre compte en banque..."

Plagg sortit un journal qu'il jeta sur la table pour qu'Adrien voit l'article.

Un dessin, une caricature de lui même, enfin, avec le masque.

«Wanted, 9000 livres, mort où vivant.»

"Maintenant on a un de nos assassin qui fait la une des news!" Finit son manager.

"Je... Je suis vraiment désolé."

"C'est pas à moi qu'il faudra que tu t'expliques... C'est au grand maître."

"Le... Le grand maître?!"

"Tu vas devoir montrer si tu es un fardeau ou un outil pour notre organisation. Je ne peux pas te sortir d'affaire cette fois-ci."

Le grand maître... C'était celui qui avait créé l'organisation de A à Z. C'était lui qui avait entraîné les meilleurs assassins du groupe. Plagg était un de ses élèves.

"Il t'attend déjà... Vas-y." Dit Plagg.

Adrien quitta lentement la chambre.

"Oh et Adrien?"

Le jeune homme s'arrêta devant la porte pour écouter ce que Plagg avait à dire.

"Bonne chance."

"... Merci."

Il sortit.

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