Coup de Foudre (Sans Fin)

Chapitre 17

Marinette courait dans les rues de Paris toute en évitant les patrouilles des policiers et de la guarde nationale la recherchant.

Elle alternait de ruelles noirs à un autre pour se cacher dans l'obscurité quand ils passaient sur son chemin. Finalement elle arriva à l'adresse qu'elle convoitait.

Le bar au quel elle avait été dirigée.

Elle entra dans l'établissement. À l'intérieur, l'odeur de la fumée des cigarettes était omniprésent.

Il y avait pas beaucoup de monde a cette heure ci.

Une table était rempli avec quatres hommes entrain de boire de l'alcool et jouant au cartes, une autre table occupée par une seule personne invre mort et une table occupée par un homme habillé en noir.

"C'est lui Plagg?" Se demanda t'elle.

Il n'y avait qu'un seul moyen de savoir.

Elle s'avança vers la table de ce dernier.

"Euh... Bonsoir!" Dit elle enfin quand elle arriva à une distance raisonnable de l'étranger.

"Hmm? 'Soir..." Murmura ce dernier.

"Je peux m'asseoir?"

"Qu'est-ce que tu me veux gamine?"

Marinette alors lui tendit la main avec la feuille dans la main.

L'homme fixa la feuille pendant un instant avant de le prendre et de le lire.

Quelques secondes après il fit un signe de la main pour que la jeune fille s'assoit.

"Alors... Comme ça t'as été envoyée par Rose. Bon c'est pour quoi?"

"C'est à propos d'Adrien."

"Qu'est qu'il a fait encore?"

"Je crois qu'il a été kidnappé."

Plagg éclata de rire à l'instant ou elle prononça ces mots.

"C'est pas une blague!!"

Pendant plus d'une minute, qui semblait être des heures pour Marinette, le garçon se marra sans s'arrêter.

Quand enfin il finit de rigoler il répondit

"Adrien? Kidnappé? Quelle bonne blague petite! Adrien a été sous mon aile depuis l'âge de dix ans, je lui ai tout appris! Ce garçon est beaucoup trop malin pour être enlevée par des ama..."

"Les agresseurs étaient les Akumas du Papillon."

Soudainement le visage amusé de l'homme se figea et lentement commença à être sérieux.

"Les Akumas? Qu'ont ils a faire dans cette histoire?!"

Alors Marinette lui dit la version courte des événements.

À la fin, Plagg regarda le plafond, pensif sur ce qu'il venait d'entendre.

"Tu es LA fille..."