"Quand on a que l'amour pour unique raison, pour unique chanson et unique secours"
Quelle est belle cette chanson, décorant de douceur et de bonheur le verbe aimer.
Quelle est vraie cette chanson, nous bercant pendant ce doux moment dans les bras de l'être aimé.
Mais quelle est fourbe cette chanson, quand tu te rend compte que tout ce bonheur et que plus globalemment tout autour de toi ne tiens qu'a l'équilibre d'un funambule sur un fil.
Pendant ta chute, la musique continue de touner, elle t'enveloppe dans un drap de musique. Tu ne sais pas si c'est reconfortant ou aucontraire angoissant. Tu n'en sais rien. Tu ne sais même pas où tu tombes. Le seul témoin du drame qui t'enfonse sont les larmes qui coulent ou devraient coulées. Tu as le vent aussi, l'air, le rien dans ton dos qui te rappelle que tu perds pieds."Je n'immagine même pas à quelle point ça doit tourner vite dans ta tête"
Ça tourne vite,
Ça tourne vide.On se demande avec lassitude, où on a foirer ? Où est-ce qu'on à fauter assez gravement pour nous ingliger cela ? Et tous ces chiffres sur la boite du comprimer censer être sauveur qui ne te rassure pas du tout. De 7 à 9 chances de réussite sur 10. Génial. Et le reste ? Et comment on s'est que ça marche ?
"Ça va aller on va traverser ça ensemble comme une équipe"
J'ai de la chance, que tu ne te sois pas barrer en courant. Je sais que je devais être rassurer de ça. Mais j'y arrive pas. T'es là et pour moi c'est une obligaion c'est juste pas possible autrement. Sinon j'abandonne.
"Non Marie, tu ne peux pas, parce que je sais que tu peux remonter. Alors fais-le pour qui tu veux mais attends d'être libre pour choisir"
Choisir ? Mon dieu, mais tu sais que je suis completement perdue. Au point que j'en oublies tout. Moi qui n'est deja pas beaucoup de mémoire ni de point de repère, me voila bien.
Complètement perdue, mais j'ai pas envie de me retrouver. Tu sais ce "lacher prise" qui ne me pousse qu'à abandonner ? Il est là. Comment me lever ? J'en sais rien, je suis en transe.
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Futilités Éternelles
PoesíaJ'ai commencé à écrire ce livre alors que je n'avais que 15 ans. A cette époque de ma vie, écrire était un exercice de survie en quelque sorte, j'écrivais tout ce qui me bouffait et que je n'osai partager à personne. Depuis, plus de 5 ans ce sont éc...