Son regard me troublait et l'iris de ses yeux était à la couleur du sable du désert. Quant à sa peau, dorée, douce et sucrée, elle me rappelait le Miel s'écoulant de la ruche, où moi, l'abeille naïve, j'y étais venu chercher le nectar.
Cependant, elle était le vice puisqu'elle appelait à l'inconstance qui en moi resurgit à tous moments pour m'amener vers l'ivresse de son parfum de femme. Je m'attardais à contempler le moindre de ses sourires. Ils m'étaient irremplaçables de par la chaleur qu'ils dégageaient. Quant à ses désirs puissants, de plaire, d'attirer,de séduire et de réclamer je ne savais y résister. J'étais patiente. Mais l'appelle de son corps était si fort, que je ne pouvais l'ignorer. Je soupirs, un peu plus chaque fois. Le masculin me nargue, et la fait s'asseoir à ses côtés. Pourtant j'ai mal, et je souffre. Je respire de force et n'ai plus d'âme. Je te veux, toi l'ombre de mes songes, le souffle de mon cœur, la lumière de ma voix.
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L'écriture blanche pour Muse
RandomMa muse et mon imagination m'amuse et mon image de fascination