Justice cryptique

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     Alors que la nuit teinte la couleur en jeu sombre, dans se silence assourdissant Shanon peine à  trouver morphée au milieu de cette foule silencieuse agacé par ses nombreuses pensées bruillantes. Si Adam parait toujours répondre avec sincérité à ses interrogations, le garçon voyageur reste perplexe face à une hypocrisie soupçonnée. Mais malgré cela, la curiosité d'une énigme si intrigante le pousse à rester chaques jours encore un jour de plus. De ses expériences, le pèlerin a vu bien des systèmes sociaux mais jamais un tel que  celui-ci basé sur une royauté mystérieuse. Les personnes qui ont été atteintes par le rayon ne sont pas décédé mais certaines restent introuvables depuis. Alors que l'éclat de la lune est étincelante et illumine un ciel étoilé majestueux, Shanon se rappelle se jour de décembre sombre qui changea son existence. Alors qu'il avait décidé de rester à la maison par dépit d'une adolescence succédant une enfance mal heureuse et mal interprété de part son innocence, un appel téléphonique retentit brusquement. Il était dans la douche badigeonner de toute part d'une épaisse couche de savon gras. Bien-sûr, il ne répond jamais au téléphone lorsqu'il sèche ehontement le lycée mais il à risquer une glissade mortelle pour décrocher se jour là. Pourquoi? Un instinct peut-être. Il décroche le combiné et un homme au téléphone lui demande si son père est là. Il répond que non et demande alors pour quelle raison. L'homme demande alors à l'adolescent si il connaît une femme. Bien-sûr qu'il la connaissait,  c'était sa mère! Alors l'homme lui rétorque simplement ces trois mots simples et concis: "elle est morte" piisbil raccroche. Ladolescend reste quelques minutes sans bouger sur le canapé, puis, dans un élan de désespoir prend un oreiller et le met contre son visage et crit. Il hurle de toutes ses forces encore et encore dans cet oreiller si bien que lorsqu'il fut arrêté,  le savon sur lui était sec. Il se retrouva tel un zombie nu. Il se dirigea calmement vers la salle de bain et repris sa douche comme si de rien  était. Son cerveau était comme anesthesié. Il s'habilla puis entrepris de descendre en ville rejoindre ses très mauvaises fréquentations. Mais à la sortie du quartier son père qui remontait à la maison le claxona et l'invita à monter dans le véhicule. La police avait aussitôt appelé au travail de l'homme. Voici les premiers mots qui sortirent de la bouche de se géniteur:"tu es contant de toi?! " puis plus un mot jusqu'à l'arrêt du véhicule sur sa place de parking. Shanon s'empressa alors d'en sortir et repartit en direction de la ville à pied. Depuis ce jour, quelque chose changea.  Oui bien-sûr,  pas brutalement, pas subitement, pas évidemment non plus. Ce fût long, douloureux d'événements, mais ce fut déterminant sur sa pensé future. Jusque-là, il croyait que tous les parents aimaient leurs enfants. Jusque-là il crut en le mensonge de sa mère qu'il était un enfant désiré alors que toute sa vie pouvait le contraire! Parfois les preuves sont évidentes mais le cerveau qui croit en des mensonges occulte et interprete. Depuis, il à cesser de croire.  Il a observé, étudier, apprit à observer, à comprendre.  Il recherche toujours plusieurs interprétations possibles à une situation car il sait que le point de vu et celler par nôtre propre jugement. C'est un travail dure, pénible, de longue allaine mais qui jours après jour l'a rendu plus sage, plus aimant, plus juste. Voilà pourquoi il pense que rester plus longtemps vaut les craintes qui le perturbe,  pour le bénéfice du doute. A cette pensée apaisante, Shanon trouva enfin les bras de cette divinité grec capable de métamorphose extraordinaire. "Bonne nuit douce lune et merci pour tes lumières".