Germinal (1885)

63 3 7
                                    

petit point à part de culture générale, germinal=saison du printemps=moment ou les plantes/fleures poussent.

/!\Je précise pour la forme mais ce n'est évidemment pas un corriger mais mes fiche de révision personnel, il peut y avoir des fautes x) (et yen a sûrement dans le texte de la fin ne serai-ce que dans la syntaxe.

réponse à la problématique: Comment les personnages construits dans l'incipit sont-ils à la fois porteurs d'une vision singulière du genre romanesque et du monde ?

première partie; la vision du genre romanesque:

a. Un univers réaliste:

indications spatiale très précise; Nord de la France, ville existante (Marchiennes)=>carde réaliste )=> contraire du genre romanesque, l'histoire n'est pas fondé sur des trait fictionnel mais réel

b.Un personnage ordinaire:

ancrage réaliste de la pauvreté du milieu ouvrier )=>personnages tout sauf romanesque description de l'homme; habille pauvre+ victime du froid; gêner par son paquet => registre pathétique ? => renforce allure misérable du perso => "héros" banale, peu enviable, pas extraordinaire => par romanesque.

deuxième partie; la vision du monde:

a.description de la classe ouvrière

l'homme=pas de nom => anonymat de l'ouvrier; =utiliser comme machine pour l'industrie ? adjectifs "tête vide" l.12 "ne put résister à ce besoin douloureux" l.16 => semble agir par instinct +condition d'anonymat => déshumanisation des mineurs, réduit état animale. adj "douloureux"=susciter la pitié ?

b.description de la mine

Champs lexical du monstre pour désigner la mine,importance du cheminement; "tout droit" §1 puis a partir du §2 c'est la descente, §3 "un chemin creux s'enfonçait", rupture l.14 "lorsque" => impression de descente au enfer, marche interminable vers lieu inquiétant.

c.L'hostilité de la mine

insistance sur enfermement physique du perso + écrasement des constructions du village: §3 homme enfermé "à droite une palissade" "un talus d'herbe s'élevait a gauche"; "toiture basse" "la masse lourde" "le tas écrasé de construction" situé "au ras du sol" VS les construction minière qui se dresse vers le ciel, d'une taille impressionnante "d'où se dressait la silhouette d'une cheminée d'usine"l.23 et "tréteaux gigantesque" => écrasement de l'ouvrier et du village (d'ouvrier ?)au bénéfice de la mine qui les écrase pour elle pouvoir se dresser le plus au possible.

________________________________________________________________________________

Exemple de réponses à la problématique sous forme de petit texte: /!\ ce n'est pas un commentaire littéraire. /!\ c'est toujours fait par moi x')

Germinal, Roman écrit en 1885 par Zola, pendant le mouvement littéraire du naturalisme, mouvement créer par Zola. Il est un auteur connu pour avoir beaucoup critiqué la société et dénoncer les injustices, ainsi nous pouvons nous demander comment les personnages construits dans l'incipit sont-ils à la fois porteur d'un vision singulière du genre romanesque et du monde? En premier lieu par sa vision opposé du genre romanesque, puis de celle négative du monde.

Premièrement, un univers réaliste qui va entré en opposition avec l'univers souvent fictionnelle du genre romanesque, en effet, les descriptions sont très précise, le cadre spatio-temporel est très bien décrit; de par les cultures on en déduit être dans le Nord de la France, zone où il y a beaucoup de mine et plus précisément à Marchiennes, qui est en ville existante. Ensuite, l'encrage du personnage, lui aussi est très réaliste mais en plus est décrit comme très pauvre et ordinaire, mal vêtus marchant dans le froid depuis sûrement longtemps, et gêner dans sa démarche par un petit paquet qu'il ne sait où mettre pour pouvoir le tenir et se réchauffer les mains. Cela donne une impression de registre pathétique et suscite la pité, le héro qui nous est présenté est peu enviable et ordinaire.

Dans cette incipit, Zola plante un décors très sombre dans lequel va évoluer un personnage réaliste, dans un cadre réaliste où l'homme se contentera de marcher tout droit dans le froid, on peux donc se demander où va l'homme que l'on pourrai déduire être un ouvrier ?

Dans un premier temps, Zola va décrire la classe ouvrière à travers l'homme, dont on ne connait même pas son nom, cette anonymat, lié aux adjectifs "tête vide" et à l'expression "ne put résister à se besoin douloureux" donne l'impression que l'homme n'agit que par instinct, cela déshumanise l'ouvrier et le réduit à l'état animal en quelque sorte. Puis, la description de la mine relié au champs lexicale du monstre, créer une ambiance sombre et inquiétante, ajouté à l'impression de descente au enfer dus à l'importance donner au cheminement; paragraphe 1 "tout droit" puis paragraphe 3 "un chemin creux s'enfonçait" suivit d'une rupture, "Lorsque". Enfin, Zola insiste sur la condition d'enfermement de l'ouvrier et du village; "à droite une palissades" "un talus d'herbes à gauche"; "toitures basse" "la masse lourde" "le tas écrasé de construction" situé "au ras du sol"paragraphe 3, confronté à la mine s'élevant vers le ciel, droite et imposante, cela donne l'impression que la mine écrase les ouvriers pour pouvoir s'élever toujours plus haut.

Nous en concluons que le personnage de Zola porte une vision diamétralement opposé au genre romanesque par le cadre réaliste et un héro ordinaire. Ainsi que la vision du monde et de la société qu'il véhicule est négative, il critique à travers elle la mine qui écrase la vie des gens pour s'élever toujours plus haut.

Fiche de Révision pour le Bac de Français.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant