souci
le soleil se couchait.
l'estomac rempli, j'étais confortablement installé sur mon fauteuil, un livre sur les genoux.
le calme brisé par des voix fortes provenant d'au-dessus.je me levai brusquement, passai la porte, montai les escaliers en trombe et toquai à la porte de ces perturbateurs nocturnes.
— oh, bonsoir hoseok. vous avez changé d'avis ?
— je suis venu pour le bruit, dis-je sèchement.
— pardon, on parle trop fort peut-être ?
— l'isolation n'est pas très bonne.
— je vois. excusez-nous. je m'en vais leur dire de parler plus doucement.
— bien.