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Il s'est enfuis j'ai dû tout assumé.
Alisha.

⚠⚠⚠
Avant de commencer j'aimerais remettre les choses en place.
Je veux bien que vous ayez besoin de vous exprimez sur certains passage de l'histoire, ce qui es naturel, le probléme c'est que certaines ne savent pas se tenir. Il y as des choses à dire et des choses à éviter, hors ici, certaines n'ont aucun filtres. Donc, tout commentaires que je trouverais trop vulgaire seras supprimer, tout commentaire racial seras supprimer.
Merci de votre compréantion.

Chapitre vingt-cinq.

- Mounia : Aller, dis lui Chaïma ! Dis à ton frère ce que sa chère femme aller faire !

- Yérim : Me dire quoi ?!

- Chaïma : Maman, arrête. Ça se fait pas.

- Mounia : Dis lui Chaïma ou je m'en charge.

À ce moment là j'ai tout de suite compris que j'étais tomber dans un piége, la mère de Chaïma avais envoyé sa fille mandié ma pitié pour qu'elle puisse m'engrainer à quitter le domicile familliale et que Yérim l'apprenne. Alors tout ça c'étais juste une mise en scéne ?

- Chaïma : C'est Alisha, elle voulais partir avec les enfants.

- Yérim : Mais qu'est-ce que tu raconte ?! Les petits sont à l'hopital.

- Chaïma : Avant ça, elle avais déjà tout préparer et elle m'avais demander de garder le secret mais t'es mon frère et je ne veux pas que tu souffre, alors tiens.

Elle lui tend une liasse de billets, mon argent gagné à la sueur de mon front.

- Alisha : DE QUEL DROIT VOUS VOUS PERMETTEZ TOUTES LES DEUX DE VENIR DANS MA MAISON ET DE M'HUMILIER ?!

Yérim rester fixé sur l'argent pendant que les cris entre sa mère et moi arracher des raisonement dans la piéce. Aprés quelques minutes de réfléxion il jeta les billets sur la table basse puis me pris par le cous.
Je n'avais plus peur de lui, je n'avais même plus peur de mourir, ce dont j'avais peur c'étais de laissé mes enfants entre les mains de ses fous !

- Yérim : Tu croyais me doublé en te servant de ma famille ?!

- Alisha : Lâche moi Yérim, tu m'étouffe ! Tu vois pas qu'elles te manipules et toi comme un idiot tu crois encore aux paroles de ta mère !

Genoux à terre, sa gifle venais complétement de me sonner. Mais c'étais trop tard pour faire marche arriére c'étais le moment ou jamais de faire revenir l'homme dont j'étais tombé amoureuse.

- Alisha : Réveil toi Yérim ! Rappel toi comme on étais bien avant de venir vivre ici, prêt de ta famille ! Souviens toi comme tu m'aimer, comme tu étais content quand tu as sû que t'aller être une nouvelle fois papa, YÉRIM !

D'un geste de la main il m'as relever et m'as plaqué brusquement contre le mur.

- Alisha : Yérim.. regard moi. Rappel toi comme on s'aimé, hin rappel toi.

Sa respiration deviens de plus en plus forte et ses yeux de plus en plus brillant. Comment faire revenir celui dont je suis tomber follement et aveuglement amoureuse ?
Je perdé espoir, pendant que la mère de Yérim hurler sur ses enfants j'en ai profiter pour aller m'enfermer dans ma chambre.

J'avais peur qu'il vienne défoncer la porte mais non, la seule chose que j'ai entendus c'est sa voix hurlant à sa mère et sa sœur de foutre le camp de notre appartement. J'étais partager entre deux sentiments.
Celui de la peur de me retrouver dans quelques minutes face à face seul avec lui et la satisfaction d'avoir réussi à faire capoté le plan de sa mère.

Il s'est enfuis j'ai dû tout assumé - AlishaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant