Il s'est enfuis j'ai dû tout assumé - Alisha

26.

Il s'est enfuis j'ai dû tout assumé.
Alisha.

Chapitre vingt-six.

[Dans la peau d'Alisha]

Aujourd'hui, Kenzi rentre à la maison avec nous. Deux semaines sont passé déja et Yérim n'as plus décrocher de la maison, je l'ai vu à plusieurs reprise chercher des appartements prêt de chez mes parents, regarder des annonces de travail sur les vitrines du magasin.

L'infirmiére nous dis aurevoir une derniére fois et on sort de l'hopital. C'étais le début de la vrai vie de mon petit homme, j'étais épuiser de ses journées à l'hopital j'avais envis que tout sa cesse une bonne fois pour toute.

Malgrés la fatigue c'est avec un joli sourir que Kyra a acceuillis son petit frère, trés heureuse de voir la merveille que Dieu nous avais donné.

- Kyra : Il est trop beau maman.

Je sort Kenzi de sa couverture et lui montre de plus prés pour qu'elle puisse mieu le voir. Elle souriée, mes enfants étaient une merveille de Dieu, ils étaient ma force.

Les jours passés et l'état de Kyra ne s'amélioré pas pour autant, Yérim resté de longue journée dans la chambre à regarder par la fenêtre, j'ignorais à quoi il pensé .. et je n'aller pas tardé à la savoir.

- Alisha : Yérim ?

- Yérim : Ouai ?

- Alisha : Tout vas bien ?

Il se tournas vers moi.

- Yérim : Pourquoi ça irais pas ?

J'allas m'assoir à ses côtés.

- Alisha : Je vais aller voir Kyra, tu peut venir si t'en as envis.

- Yérim : Non, je vais resté a la maison.

Il se relevas puis sortis de la chambre. Je pris mes affaires ainsi que mon fils et sorta de la maison pour rejoindre l'hopital. J'avais décider d'y aller à pied, Kenzi étais plaqué a ma poitrine un drap l'entourant. Je caresser ses petits cheveux noir, sa respiration étais réguliére et son visage me fesait planer.

Arrivé à l'hopital, je monte directement dans la chambre de Kyra, je n'apprécie pas forcément de venir ici avec Kenzi, encore moin pour voir ma petite fille mais je ne peut pas compté sur Yérim pour pouvoir me le garder.
J'entre dans la chambre un sourire au lèvre, Kyra étais assise sur son lit accompagné d'un médecin et une infiermiére.

- Kyra : Maman !

- Alisha : Coucou beauté.

Je retire mon menteau, le plaid de deçus Kenzi et serre la main du médecin et son assistante.

- Médecin : On venais voir comment ça aller.

- Alisha : Son état c'est améliorer ?

- Médecin : Pas vraiment. On fais tout pour Madame ..

J'aquis.
Aprés avoir finis leur boulot ils sortent de la chambre me laissant seule avec mes enfants.

- Kyra : Maman c'est quand que je vais rentré ?

- Alisha : Bientôt Kyra, encore quelques dodo et tu rentre.

- Kyra : Le bébé il as pas pris mon lit j'espére ?

- Alisha : Non, il dors avec moi.

Elle croise ses bras et se met à bouder.

- Alisha : Quoi ?

- Kyra : Avec toi c'est ma place ! Partout c'est ma place !

- Alisha : Mais Kenzi aussi il as besoin de place.

Elle fis semblant de réflechir.

- Kyra : Bon je veux bien te prétee un peut. Mais pas beaucoup ..

Je rigole et allonge Kenzi sur le lit d'hopital, il dormé. Je me mis à coiffé ma fille en chantant des chansons qu'elle aimer bien. J'aimer passé des moments comme ça oubliant l'horreur du quotidien.

Narrateur.

Pas loin, une voix féminine annonce le départ d'un train. Yérim, valise en main, se trouve à bord. Sur un coup de tête, remplis de remord, il décidas de quitter l'appartement, d'abandonner ses enfants, sa femme, sa vie de famille par honte.
Leurs derniers euros en poche, le train démarre en direction de Bruxelles.

Alisha.

L'heure des visite étais terminer, je dis au revoir à ma princesse et quitte sa chambre pour rejoindre l'arrêt de bus.
J'arrive en bas de la maison, je sert Kenzi contre moi pour le protéger du froid et monte à la maison. La porte est ouverte, je ferme dérriere moi et part coucher mon fils dans son transat.
Je me deshabille puis me dirige vers le salon, un papier blanc es posé sur la table basse. Je m'assoie sur le canapé et l'attrape.

" Alisha, si tu lis cet lettre c'est forcément que je suis partis et que toi tu es toujours ici. Je te quitte, je vous abandonne.
Ne cherche pas aprés moi, j'ai coupé tout contact avec l'extérieur.
Refait ta vie et oublis moi. "

J'avais du mal à assimiler ses paroles.
Le fais de m'imaginer qu'il ne rentreras plus alors que tout commencé à aller mieu .. je ne savais plus où me situé. J'avais mal, je me sentais trahis, abandonner .. savoir qu'il n'as pas eu le courage de me dire les choses en face me fais encore plus mal. Je part dans la chambre ouvrant grand l'armoire comme pour me rassurer.
Mais non.. il été belle et bien partis.

Il nous avais abandonné.