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Il s'est enfuis, j'ai dû tout assumé.
Alisha.

Chapitre vingt-sept.

[Dans la peau d'Alisha.]

J'avais passé ma nuit à pleuré, comme si le fais que ma fille étais à l'hopital ne suffisait pas il fallais que son père s'en vas avec toutes mes économies.
Je pensé à comment j'aller faire manger mes enfants, son départ m'affecter mais le fais qu'il soit partis comme un lache me dégouter, je m'étais bien trompé sur l'homme qui l'étais.
J'éssuia rapidement mes larmes quand les pleurs de Kenzi se mette à résonner dans l'appartement.

Le serrant contre moi, j'éssayé de me dire que j'aller voir mon maris passé la porte, me demander ce qui ne vas pas lui répondant que j'avais fais un mauvais cauchemard.
J'étais trop peiné et avais trop honte d'aller chez ma mère pour lui demander quoi que se soit. J'étais seule. Avec mes enfants.

Une fois Kenzi calmé, je le cala entre deux gros coussins sur mon lit, récupéras le fixe pour composer le numéros d'Aïssa. Je savais, que mon frère serais le seul qui pourrais m'aidé, alors j'ai appeller plusieurs fois mais ça n'as jamais décrocher.

Je me retrouvais coincé, je n'avais plus de travail, plus de revenus, j'avais honte de ne pas pouvoir assumé mes enfants. Les frais d'hopitaux qui allé me couté plus que cher.
Je me suis allonger prés de Kenzi qui dormé comme un ange, du bout des doigts je carrésser ces petites joues ronde rosé, son frêle petit corp bougé au rythme de sa respiration.

Petit prince deviendras Roi.

Les jours passé et je donné le seins à Kenzi, j'éssayer d'économiser la nourriture dans les placards et allé toujours rendre visite à ma petite princesse.
Kyra me demandé à plusieurs reprise où étais son père et j'éviter le sujet en lui proposant un jeu ou en parlant de son petit frère et de ceux qu'ont aller faire tout les trois quand elle sortiras.

Comment expliquer à une petite fille qui vois son papa comme un héro qu'il ne reviendras plus ? Qu'elle ne le verras peut-être plus jamais ? C'étais tellement dur.

[Dans la peau d'Aïssa.]

La juge avais décidé de reprendre mon dossier, j'étais sortis pour bonne conduite avec le bracelet. L'adresse de mes parents étais toujours sur les papiers et j'avais honte d'y retourné. Honte de voir ma mère pleuré une nouvelle fois, même si ça serais de joie cet fois si.

Je frappe à la porte de cet grande maison, il est encore tôt je sais pas si elle dors j'espére pas en tout cas.

- Ma mère : J'arrive !

La porte s'ouvre sur cet merveille, elle avais un tablier autour de la taille.

- Ma mère : Aïssa ? Aïssa .. mon fils.

- Aïssa : C'est moi maman.

Elle m'as fais entré avant de me serré trés fort dans ses bras, elle s'est mise à pleuré.

- Aïssa : Pleure pas maman, j'aime pas ça.

- Ma mère : Tu m'as tellement manqué si tu savais mon grand.

Elle prend ma tête entre ses mains pour pouvoir scruté chaque parcelle de mon visage.

- Mon père : Aïssa ?

- Aïssa : Salam Aleykûm papa.

Mon père me sert dans ses bras, j'ai eu beaucoup de chance d'avoir des parents comme eux.

- Mon père : Bienvenu chez toi mon fils.

- Aïssa : Merci papa, y'as personne ?

- Mon père : Ben dort et les autres sont à l'école. Alors raconte moi tout , viens au salon.

J'avais passé mon aprés midi à parlé avec mon pére, même si j'aimais pas parlé de la prison je voyais qu'il voulais rattraper le temps. Le soir venus, à table tout le monde étais présent, tout le monde sauf Alisha ..

- Aïssa : Mh .. et Alisha ?

- Ben : Quoi Alisha ?

- Aïssa : Quelqu'un as des nouvelles ?

- Ma mère : Aïssa tu sais ta sœur on as plus de nouvelles depuis quelques mois déjà.

- Aïssa : Et Kyra alors ? Attendez, ça fais combien de temps que vous l'avez pas eu le bordel ?

- Ma mère : Sava faire un peut plus de deux mois Aïssa mais je suis sûr que tout vas bien pour elle. Qu'elle s'en sort.

- Aïssa : Mais maman elle es seule avec deux enfants.

- Mon père : Elle es pas seule, y'as Yérim.

- Aïssa : C'est un truc de fou quand même que personne prenne de ses nouvelles.

- Dania : Moi j'ai essayé de l'appeller une fois, méssagerie.

J'hausse les épaules et quitte la table, je trouvé sa bisarre qu'Alisha nous donne plus aucunes nouvelle. J'ai pris une douche puis je suis allé m'allonger dans mon ancien lit.

- Ben : Ça va pas ?

- Aïssa : Si,si je pense à Alisha c'est tout.

- Ben : Elle as aucun probléme t'inquiéte.

Quelques jours aprés mon arrivé, y'avais personne à la maison j'étais resté seul et je m'ennuié.
La porte se met à trembler, je suis aller ouvrir.

- Aïssa : Qu'est ce que tu veux ?

- Chaïma : Aïssa, il faut que tu viens. C'est Alisha ..

- Aïssa : Entre.

Je la laisse entré, elle étais nerveuse et je savais déjà au fond de moi que j'allé la déclancher.

- Aïssa : Abrége !

- Chaïma : Écoute Aïssa .. Yérim il est partis.

- Aïssa : Comment ça partis ?

- Chaïma : Depuis quelques mois ça aller plus déjà, il l'as frapper, il lui enlever Kyra des mois entier Aïssa puis elle as accoucher, y'as eu des complications, Kyra elle es rentré à l'hopi..

Je me suis mis à la frapper parce que j'avais que ça et que je l'as supporter pas cet fille.

- Aïssa : VOUS ATTENDIEZ QUOI POUR NOUS LE DIRE ?!

Elle c'est reculé jusqu'au mur les bras devant elle pour se protéger.

- Chaïma : Je suis desoler Aïssa, ma mère tenais les ficelles mais ça me fais trop de mal de la voir comme sa .. elle es seule avec ses enfants. Y'as plus personne .. elle s'en sort pas.

- Aïssa : PART ! VAS T'EN !

Chaïma c'est relever puis elle es sortis de la maison, j'avais la rage de pouvoir rien faire avec ce putains de bracelet.
J'ai immédiatement appeller Ben lui expliquant la situation pour qu'il se rend directement chez Alisha, se bordel allez césser.

Il s'est enfuis j'ai dû tout assumé - AlishaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant