Il s'est enfuis j'ai dû tout assumé - Alisha

21.

Il s'est enfuis j'ai dû tout assumé.
Alisha.

Chapitre vingt-et-un.

[Dans la peau d'Alisha]

2 semaines étaient passées, Chaïma étais à la maison 4 jours sur 7 et moi j'étais de plus en plus fatiguer. J'avais commencer à mettre un peut d'argent de côtés pour pouvoir m'en aller. J'aimer Yérim mais ce qu'il nous fesait enduré étais trop dur.

Je rentre du travaille, dans quelques jours Kyra feras son entré en derniere section de maternelle.

- Alisha : Kyra ?!

Elle qui d'habitude court dans tout l'appartement étais trés calme. J'essuis mes mains sur un torchon et pars à sa recherche, elle étais endormis dans sa chambre. Je m'approche d'elle et touche son front. Elle étais brûlante.
Je me dirige vers la salle de bain pour tremper un gant de toilette dans l'eau froide et retourne auprés d'elle.

Je pose le gant froid sur son front en fesait tout le tour de son visage et en dépassant sur son cous et sa nuque.
Je suis rester auprés d'elle jusqu'à ce que Yérim rentre.

Je lui ai servis le repas puis je suis aller manger dans mon coin en cuisine. Il ne se retener plus désormais même quand on aller chez sa mère il me frapper et ne s'en cacher pas, il s'en vanter presque. J'avais pitié de l'homme qui l'étais devenus, il étais comme un animal, sans conscience. Il avais stoppé les recherches de travailles et passé le plus clair de son temps en bas des batiments comme un vieu déchet, je trouver sa désolant qu'à son âge un homme en soit encore là.

- Yérim : Alisha !

Je me léve de ma chaise et le rejoin dans le salon.

- Alisha : oui ?

- Yérim : J'ai fini.

Je prend d'une main l'assiette et les courvets et de l'autre son verre. La maison étais propore, je me dirige vers la cuisine mais il me retourne brusquement. Je fais tomber ce que j'ai dans les mains sur le sol.

- Yérim : tu l'as fais exprés hin !

Il as pris ma tête et c'est mis à me la tapper plusieurs fois contre le mur, je ne pleuré même plus tellement les coups ne me fesait plus mal.
Il me jeta sur le canapé et se mis à se des-habillé, je redouter la suite de ses actions mais c'étais innévitable. Et ça, je le savais.

Sa main viens se plaquer contre ma bouche, je bouger dans tout les sens, je ne voulais pas être un simple objet sexuelle, j'avais le drois à la parole malgrés qu'il m'en privé. De son autre main il déchiras presque ma robe et ma culotte. Il avais des eclairs dans les yeux, qu'en était-il de l'homme de qui j'étais tomber amoureuse ? Où était-il passé cet homme doux ?

Sans attendre il monta sur moi comme un animal et se mis à me..violé. Certains dirais qu'il ne me viole pas puisse qu'il es mon maris.. d'où proviens cet mentalité ? Je pleuré, mes sanglots étaient éttoufés par sa main qui m'empecher de reprendre correctement ma respiration. Il me regarder avec un sourir amuser sur le visage; chaque jours voilà le combat de nombreuses femmes, frapper, violer, rabaisser par l'homme qu'elles aiment. Je plaqua mes mains sur mon visage, j'avais honte.

Aprés quelques minutes, il se retiras de deçus moi en déposant des baisers dans mon cous. J'étais dégouter.
Il sortas du salon pour rejoindre la salle de bain, moi je m'enroulas dans un drap quand j'entendis les petits pas de Kyra.