17.

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Il s'est enfuis j'ai dû tout assumé.
Alisha.

Chapitre dix-sept.

Il est quatre heure du matin quand j'ouvre les yeux. Kyra hurler dans sa chambre, j'accours presque allume la lumiére et m'en vais la prendre dans mes bras.

- Alisha : chut, calme toi.

- Kyra : je veux dormir avec toi, maman

- Alisha : oui mais calme toi d'abord.

Je caresse ses cheveux et tout doucement elle se calme, c'étai rien qu'un mauvais rêve. Je la porte jusqu'à ma chambre et me couche avec elle, Yérim se réveille.

- Yérim : qu'est-ce qu'elle fais ?

- Alisha : elle as fais un cauchemard. Rien de grave.

Il se rallonge et je retrouve le sommeil quelques peut de temps aprés.

Il est bientôt 9 heure, je viens de finir mon travaille je prend le chemin de la maison. Je suis épuiser.
J'arrive trés vite à la maison, Yérim dors encore avec Kyra contre lui.

Je prend une douche et fais mon ménage, une petite routine.
Quelques heures plus tard, Ben est arriver.

- Ben : Pour Vendredi, le parloir c'est ok ?

- Alisha : oui, l'heure ?

- Ben : 14h.

- Alisha : ok cool. Tu m'y enmeneras ?

- Ben : Bien sûr.

(Je vais passer jusqu'à Vendredi et me plonger dans la peau d'Aïssa.)

[Dans la peau d'Aïssa]

C'est bientôt l'heure d'aller voir ma petite sœur. Ça fais 5 ans que je suis dans se trou à rat, j'ai vu j'sais pas combien de fois le trou, j'ai tout manquer de ma vie et d'celles de mes proches.

Le mariage d'Alisha, la naissance de Kyra, le bas de Dania, vraiment tout.

Le maton viens me récupérer, je suis pas celui qu'ont crains mais celui qu'ont respecte. J'aime pas la 'hagra'.

On m'enméne dans une salle, c'est long ce merdier. J'arrive devant la petite salle du parloir, la porte s'ouvre et j'entre.

- Alisha : salut..

Je soupire, son ventre est tout rond, ses cheveux ont poussé, elle ressemble à une poupée.

- Aïssa : viens par là.

J'ouvre grand mes bras et elle court presque. Je le serre fort contre moi, mon Dieu que c'est bon de la sentie prêt de moi. Je prend son beau visage entre mes mains et l'embrasse partout.

- Aïssa : regard toi t'es devenus une vrai petite femme.

- Alisha : et toi alors..

Elle pose ses mains sur mon visage et me reserre dans ses bras. Elle m'avais manquer. Ont finis quand même par s'assoir.

- Aïssa : alors raconte moi.

Il s'est enfuis j'ai dû tout assumé - AlishaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant