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...

Vous connaissez quand les policier il se prenne pour des shinobi plus fort que Itachi ?

Beh voilà ce bâtard de keuf c'est ce comportement de merde qu'il a.

Il ne fait que parler. Un monologue geh.
Manel et moi on se fou de sa gueule mais plus sérieusement qu'il se la boucle.

Je sais qu'on va juste en garde à vu donc...
Je vois pas pourquoi il essaye de me faire stresser, de nous faire stresser.

Mais Menel n'a pas l'air d'être très rassurée.
C'est ça les femmes, toujours là à paniquer pour rien.

Même un bonjour vous fait peur, on est fatigué.

Moi : T'inquiète pas heein ils von...

Le keufs à côté du conducteur il se tourne vers nous en mode « je vais vous montez en l'air petits merdeux ».
Mais poto c'est dommage hein mais crois même pas que j'ai peur de toi wallah.

Keufs 2 : Tu vas fermer ta gueule ptit ?

Moi : Sah ? Non sauf quand j'aurais envie par contre. Le respect c'est une valeur perdu pour vous ?

Keufs 1 : Laisse julien, il va pas se taire, on arrive dans 5 minutes même pas

Pfiouuuuu

Keufs 2 : Ta gentillesse te perdra Gabriel. Ce genre de mec faut lui montrer que la police c'est pas n'importe quoi.

Moi : Au moins lui ça se voit que c'est pas le genre de policier à rentrer des matraques dans le cu des gens.

Le keufs 2 donc Julien se tourne vers moi, je suis beau. Je sais. Il a besoin d'admirer un peu la création que je suis.

Manel : Mdrrrrrrrr j'suis morte, t'es un grand malade.

Julien : Ça suffit, tu verras au poste.

Ouais ouais c'est ça.
Je dois m'inquiéter de mourir ? Une nouvelle victime bizarrement de couleur sera tuer par la police ce soir ?

...

On est arrivé, menotté wsh.
Et ça, ça me fou la haine.
Je suis traité de la même manière qu'un meurtrier.

Moi : Détache moi, je vais pas te frapper détends toi. Je me permet te tutoyer hein vu que t'as pas l'air de vouloir me respecter depuis le début.  

Julien : Si j'étais toi, je ferai moins le malin espèce de sac à merde.

Moi : Oulaaa y'a pas à être aussi grincheux.

Il nous font entré dans le commissariat.
On leurs donne nos bijoux, téléphones, ceintures etc.

Eh beh si je savais que je finirai au poste de police pour si peu un jour...

Ils nous envoie dans des « cellules » différentes. Mais face à face. J'espère que j'ai bien expliquer.

Yanis : C'était donc elle qu'il me fallait ?  1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant