Ce n'est pas toi...

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''Je t'aime''

Mon coeur s'arrête de battre. Littéralement. Je cligne plusieurs fois des yeux, ouvre et ferme la bouche plusieurs fois avant de finalement m'exprimer clairement :

''Marinette ... Je- je- suis désolée mais ...''
''Mais tu aimes Chloé c'est ça ?''
''Mais non-''
''je m'en doutais, mais je croyais que tu n'étais pas aussi superficiel ...''
''Mais...''

Je me tais. Si je ne l'aime pas, autant lui mentir... Je vais lui dire que je préférerais sortir avec Chloé ...

''Tu as parfaitement raison ! Maintenant si tu veux bien je dois y aller ! Tu pollues grandement mon environnement ! Et sache que je préfèrerai mille fois sortir avec une personne aussi parfaite que Chloé que de devoir trimballer un boulet dans ton genre !''

Elle écarquille les yeux, elle ne devait pas s'attendre a un discoir de ne genre. J'y suis peut être aller un peu fort ... Mais pour qu'elle souffre moins il vaut mieux qu'elle me déteste ... Marinette me pousse les larmes au yeux et elle court dans les escalier, vers les toilettes je suppose. Je suis sûre que je ne vais pas échapper aux remontrance d'Alya. Je lui expliquerai elle comprendra j'en suis sûre, et Nino, et ben Nino lui il a intérêt a se souvenirs que c'est Ladybug la fille de mes pensées.

Je retourne chez moi le coeur lourd et me rue dans ma chambre en courant, j'allume mon ordi et consulte le ladyblog, notre dernier combat y est ajouter et je le regarde attentivement, elle est vraiment parfaite, même pas une seule égratignure ! Même moi qui suis extrêmement doué, je m'en suis echappé avec quelques bleus...

Je me rends compte que je suis perdu dans mes pensées que quand un akuma vient d'être apercu en ville ... Soudain je suis parfaitement réveillé car je peux penser que c'est Marinette...

''Plagg...''
''Oh Adrien ... Je peux finir mon camem-''
''Plagg ! Transforme moi !''

Après avoir revêti mon costume, je saute de toit en toit a la recherche de l'akumatisé, pas la peine, je suis les cris des gens et me rends vers l'endroit principalement touché par les attaques, sans faire attention au débris mourant sur le sol, je me précipitait agilement jusqu'au champ de mars, je pus voir mon ennemi. Un soupir de soulagement s'échappa de mes lèvres en distinguant une forme masculine, ce n'était pas marinette, dieu merci. J'attaquai l'ennemi en le criblant de coup de bâton, je n'a rien trouvé d'autre sur le moment, mais en apercevant ma lady arrivé, je ne pus m'empêcher de laisser dériver mon regard sur son corps, ses courbes, ses cheveux, ses yeux... Ouh lala, je m'égare, pardonnez moi.

Je n'en reviens pas... Elle a l'air si a l'aise dans sa façons de combattre, elle est magnifique...

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Nous DeuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant