Chapitre 2, Partie 2

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«Hé ho, Charlie, je te rappel qu'il y a un griffeur à côté ...

-Désolée Zart, mais je crois avoir compris.

-Compris ? C'est vrai ? Comment ?

-Il faut d'abord qu'on sauve tout le monde. Il me regarde bizarrement et tourne la tête pour voir où se trouve le monstre et me dit :

«Charlie, j'ai quelque chose à te dire ...

-Quoi!?!

-Tu ferais mieux de courir si tu veux vivre !! »

Il me dit ça et prend ses jambes à son coups. Je jette un œil derrière moi et je vois la créature faite de métal courir vers moi. La peur me tétanise, mais l'adrénaline s'installe vite dans mes veines et mon corps ne me répond plus. Je tourne les talons et je m'enfuis dans la forêt. Je cours en esquivant les arbres qui me ralentissent. Mais le griffeur qui est, lui, beaucoup plus gros que moi, est beaucoup plus ralentit pas les obstacle que moi. Malgré tout ça, je je n'arrive pas à le distancer. Il a beau être ralentit, il n'en reste pas moins rapide. Quand mes poumons commence à être en feu j'aperçois – enfin – l'endroit que je cherche.Je vois au loin le lac. Je contourne le lac et une fois de l'autre côté je m'arrête, fatiguée. Le monstre continu sa course et sans s'en rendre compte il tombe dans mon piège. En quelques minutes il a déjà sombré dans l'eau profondément sombre.

L'envie de rester caché ici, a l'abri dans la forêt me titille mais j'entends les cris des autres blocards et mes jambes se mettent accourir jusqu'à la lisière de la forêt. Je me cache derrière un arbre pour évaluer la situation. Et c'est là que je remarque quelque chose. Les griffeurs ne poursuivent pas des personnes au hasard, non, ils ont des cibles bien précise. C'est difficile de savoir exactement qui ils poursuivent car, comme tout le monde est affolé, je ne peux voir exactement leurs proies. Malgré tout cela,je peux voir que Winston, Ben, Dean et Morgane. Il faut que je dise cela, et que je les emmènent tous dans la forêt, en sécurité. Pour cela, je me faufile vers une tour de guet pour crier mes instructions. Mais avant même de pouvoir commencer à la monter, je reçois un grand coup sur la tête qui m'assomme et le noir m'engloutit.



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Je suis désolée si je ne publie (ni écris) beaucoup, c'est juste que la suite des événement se trouve dans ma tête mais je n'arrive pas à me concentrer quand je me décide d'écrire... Mais j'essaie de m'améliorer...

Le LabyrintheOù les histoires vivent. Découvrez maintenant