Un jour, ou plusieurs d'ailleurs, nous irons, toi et moi, nous enfermer dans une boîte bleu. Bleu ciel, bleu marine. Nous resterons alors longtemps dans cette boîte teintée, bleutée.
Puis si le soleil se lève, mon amie, c'est que nous n'aurons pas dormi.Puis nous sortirons, de cette boîte. Et nous tenterons, mon amie, de capter les limites de l'univers. Nous souleverons le couvercle de notre boîte ciel, mon âme (i), et nous placerons notre tombeau spacial entre Vénus et cette boîte.
Nous le ferons mon amie. Quand nous nous serons lassées de tous les pays que nous n'avons pas encore visités. Quand nous nous serons lassées du globe qui nous fais la promesse d'une prison espacée.
C'est alors, ma mie, que nous trouverons au fin fond d'une galaxie au goût de mûres des bois, une petite boîte. Une nouvelle boîte, qui nous montrera, un mini-monde, aux mille merveilles.
Ce chapitre, ma chérie, est bleu. Bleu ciel, bleu marine, bleu cien, bleu lune, bleu de mo(r)ts. Bleu de mon Koeur, de mes yeux.
Ce chapitre, mon heurt, est rose de couleurs. Rouge de de malheurs, mais vert de paresse, et indigo de tendresse. Ce chapitre, ma fleur, c'est ton âme, ta flamme, ton bras, ton œil, ton mal et ses prouesses. Ce chat pitre n'est pas pour toi. Ce chapitre, merde, c'est Toi.Alors si demain nous mourrons tous, si demain il ne reste que cette étoile morte, dont le seul souvenir est la puissance de sa lumière, pas encore arrivée à tes pupilles. Si demain ton chat meurt. Si il ressuscite par bonheur. C'est que demain, MERDE, c'est que demain, tu sera aussi grande et puissante que notre boite aujourd'hui et que nous deux, demain. Tu sera lumière, comme l'étoile morte qui résiste encore et encore pour faire parvenir sa lumières à tes pupilles. Sa lumière pas infinie mais libérée par ce lendemain.
C'est que demain, joli demain, nous serons plus riches à nous deux que le reste de la matière : "univers".
Bon, ferme les yeux, regarde en l'air. Que vois-tu ? Idiote ! Rien puisque tes yeux sont aussi clos que la boîte de terre. Ferme les yeux. Prend ma main. Enfile un scaphandrier couleur bronze et bleu. Car demain nous nous envolons pour devenir poussière.
Ne parlons plus de TOI dans TOI ou de MOI dans MOI. Ceci est une fanfiction de NOUS dans ce TOUT. Ceci est la représentation de mon complexe de désir et de quête de joie. Ceci est l'antireprésatation de ton toi en TOI. Ceci est un amas de frappes et de cycle parsemé d'une poussière de légende. Ne nous dévoilons pas. Ne nous justifions pas. Faisons ce que dame Une I Vers nous a tromper de faire. Faisons ce qui peut-être nommée une action humaine. OU VIVONS DE PARESSE sur le bord d'un champ ou dans un sous-marin du style d'époque victorienne.
Réjouissons nous, ma sympathique antipathique, de ce mouvement répétitif d'actions enchainées les unes aux autres. Et rêvons de ne rêver que nous soyons seules à deux. Rêvons que ce mouvement répétitif ne soit qu'une illusion de Dame Une I Vers. Et que ce vers approbateur qui nous lie prenne son temps pour se réjouir lui aussi d'un tel accent de désir fou. Réjouissons nous de pouvoir rêver d'être seules parmi l'émouvant mouvement jusqu'à ce que la folie du vers vieillesse ne nous emmène dans la poussière de Damne Une Hiver.
Dormons. Car pour ces savants, mon ange, le rêve d'un mouvement monde (ialle) ne vient qu'en cessant d'utiliser notre esprit.
Je te considère comme une forme de vie plus qu'indélébile. Je te considère comme la vie dans sa propre nature, la plus belle et la plus simple qu'il soit. Et je sais que tu t'es approprié ma propre vie. Elle est devenue Ta vie(ta) lit tes (ratures) et société.
Ne cesses jamais de respirer. Tu possède cette particularité que l'on dit drogue du cœur.
D'ftu b UPJ Жaнн
VOUS LISEZ
Sens Adictif
PoetryY'avais Baudelaire et Desnos, Rimbaud et Verlaine. Tout ça pour ça. La poésie ça ne veut jamais rien dire. Ça n'exprime jamais rien. C'est des sons, et des thèmes. Parfois c'est pas beau. Ça se slam. Ça se chante. Ça se rap. Alitérations, jeu de mot...