|Miss You| Jm×Jk

|Coréopsis Jaune|

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Tu egayais mes journées et hantais mes nuits. 1 mois était passé et mes sentiments n'arrêtaient pas de s'intensifier, je ne savais pas vraiment quoi faire. Parfois tu me questionnais innocemment sur ce que je pensais de toi physiquement, si je te trouvais beau ? Bien plus que tu ne pouvais l'imaginer. Pour enfouir mes sentiments je prenais tes questions à la rigolade, je te disais que tu ne pouvais pas surpasser ma beauté. Si tu savais à quel point je regrette de ne pas t'avoir dit plus tôt que tu était la plus belle création de ce monde.

Tu étais si gentil, si affectueux, si tactile. Comment j'aurais pu te dire que chacun de tes touchés me brûlaient délicieusement la peau, que chaque fois j'étais de plus en plus avide de toi. Que ton visage, tes lèvres, ton corps me procurait des milliers de fourmillements dans le ventre. Tu étais parfait à mes yeux. Pour moi tu étais la huitième merveille du monde. Ta passion c'était la danse et j'aimais par dessus tout te regarder, enfin plutôt t'admirer danser. Tu dégageais un je ne sais quoi qui rendait chacun de tes habiles gestes, bien plus époustouflants.

L'école avait repris et par chance nous étions dans le même lycée, j'ai retrouvé mes "amis" et toi tu m'avais assuré t'être bien intégré dans ta classe. Nous passions les week ends ensembles et les mercredi après midi, je t'aidais pour tes devoirs et tu en faisais de même. Sauf que je comprenais déjà très bien les exercices en question. Mais qu'est ce que je pouvais y faire, ta mine sérieuse avec tes lunettes prêtes à tomber sur le bord de ton nez, la façon dont tu machouillais ton stylo tout en fronçant légèrement les sourcils concentré à lire et à comprendre l'énoncé, tout cela me faisait craquer.

Je ne me lassais pas de tes réactions lorsque je m'amusais à t'embêter, ni de ta fausse mine boudeuse quand tu voulais quelque chose et que je refusais. Mes parents te connaissaient et avaient l'habitude que tu viennes à la maison, ils t'appréciaient beaucoup tu sais, en partie parce qu'ils avaient remarqué à quel point mon regard brillait quand tu étais là mais aussi parce que tu étais quelqu'un d'aimable et de poli. Tout le monde t'aimait, enfin presque tout le monde. Ta maison était comme un deuxième refuge et tes parents étaient très gentils avec moi, ton petit frère était une version mignature de toi tellement mignon, je ne pouvais que le chouchouter ce qui avait le don de te rendre légèrement jaloux et cela m'amusait.

4 mois, 4 mois depuis notre rencontre et seulement 1 mois depuis que j'avais accepté mes sentiments pour toi. C'était dur, nous étions deux garçons, jamais je n'aurais pensé être autant attiré par un homme. Mais toi, que pensais tu réellement de moi, à tes yeux nous étions autre choses que deux meilleurs amis ? Serais tu dégouté si tu apprenais les sentiments que j'avais à ton égard ? Je ne savais rien à part le fait que je t'aimais à en devenir fou. Tu étais l'homme de ma vie, la personne avec qui je voulais avancer et évoluer.

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