Chapitre 8

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Après mettre doucher et habiller d'un jeans noir, de Doc Martens noir et d'une chemise blanche amener par mon frère, je me dirige vers le bureau de l'Ainé se trouvant au sommet du bâtiment au 5e étage.

Je croise des CreepyHunter que je salue d'un mouvement de tête tout en priant que je ne tombe pas sur LA personne que je ne peux pas supporter, quand je la voix je n'ai qu'une envie la torturer très lentement pour qu'elle meure petit à petit et dans d'affreuses souffrances.

??? : Blue !

Trop tard, je ne reconnais que trop bien la voix stridente et insupportable de cette fille.

- Corinne...

Une fille se place devant moi, elle mesure environ 1m56, yeux verts cheveux ondulé et blond. Elle portait une robe blanche et décoration bleue représentant des sortes d'oiseau exotique lui arrivant au milieu des cuisses, elle avait aussi de gros nœuds bleus assortis à sa robe dans les cheveux.

Corinne : Comment vas-tu depuis tout ce temps ?

- Comme quelqu'un qui vient de se réveiller d'un mois de coma... et toi ?

Corinne : Très bien ! C'est l'anniversaire de la mise en couple avec mon copain, et j'ai fait un super rapport de mission, j'en suis tellement fière !

- Je peux y jeter un coup d'œil ?

Corinne : Mon copain ?

Et conne en plus, une autre raison pour laquelle je la déteste.

- Non ! Ton rapport !

Corinne : À d'accord je n'avais pas compris.

Elle sortit d'une sacoche blanche au logo floral un petit amas d'une vingtaine de pages.

Je prends son rapport et commence à le lire, en effet il est vraiment pas mal. Ce serait dommage qu'il lui arrive quelque chose, comme tomber dans de l'eau par maladresse ou bruler par un briquet sauvage.

Corinne : Alors ? Pas mal hein, ce n'est pas toi qui ferais un aussi bon rapport !

- Il est bien, tu as dû y passer un temps fou à le rédiger.

Corinne : tu n'imagines même pas à quel point !

- Dommage qu'il soit à refaire.

Corinne : Pardon ?

Je sortis de la poche arrière droite de mon jeans, un briquet noir avec un logo de crane, l'allume et brule sont magnifique rapport. Les feuilles se consument à une vitesse assez lente par rapport à ce que j'espérais, je les lance vers le plafond. Elle retombe lentement vers le sol avant de devenir des cendres.

Corinne : Pourquoi tu as fait ça !

- Pour m'amuser, j'adore bruler des trucs c'est mon petit coter pyromane, à moins que ce soit le faite que Hadès soit ma première arme ou peut-être les deux qui sait.

Je me mets à rire et repars vers ma destination initiale, je crus entendre « tu vas avoir des problèmes ! Je me vengerai soit en sûr ! », des problèmes j'en ai déjà. Une vengeance ? Je l'attends la mienne sera bien pire !

Après que mon fou rire soit passé, j'arrive devant une grande porte couleur or sculptée de motif ancien. Je toque trois fois, la porte s'ouvre dans un grincement sinistre. Je pénètre dans la pièce s'ombre, les rideaux son rouge au tissage d'or, recouvrant les fenêtres ne permettant des laissez-passer que très peu de lumière. Les murs de pierre donnant l'impression de changer d'époque et de lieux juste en passant la porte. Les meubles en bois de chêne sont disposés symétriquement dans la pièce.

Un homme se tenant assis sur un fauteuil ressemblant à un trône e face de son bureau en bois lui aussi de chêne sculpté lui donnant un air de meuble ancien.

Il dégager une aura des plus terrifiantes et noire mélangeant l'envie du sang d'un assassin professionnel et de supériorité. Je m'avance vers son bureau et pose un genou à terre, je fixe le sol recouvert de moquette gri ardoise.

Sa voix grave et froide résonne dans la pièce.

??? : J'imagine que tu sais pourquoi tu es ici ?

- Ce n'est pas moi qui vous est volé votre gouté je le jure.

Il se lève d'un geste brusque et frappe le bureau.

??? : Tu sais très bien de quoi je veux parler ! Alors, maintenant obéis une bonne fois pour toutes et dis-moi ta version des faits !

- Mon père est venu avec un stagiaire, je m'en suis occupé et quelque jour après j'ai tué un tueur qui ressembler au Glaude et je me suis fait attaquer par des Creepypasta, dont ceux qui était normalement, enfermer. J'ai aussi appris pendant l'attaque que le fameux stagiaire était en réalité Bloody Painter.

??? : Et tu ne t'en es pas rendu compte !

- Comment voulez-vous que je m'en rende compte quand le meilleur soldat emmène un stagiaire, i aurait dû être passé au peigne fin.

Bien sûr que j'en m'en suis rendu compte, mais j'en avais marre de devoir m'occuper de Creepypasta enfermer alors que j'ai un bac à passer cette année.

??? : Tu sais que je vais devoir te punir pour avoir perdu nos précieux cobayes et source d'information principale ?

- Me punir ? Je ne suis pas fan du viol dans des pièces sombres, surtout par mes supérieurs.

Pour seule réponse je ressue une claque sur la joue qui me propulse contre le mur, mon dos cogne brutalement le mur de pierre ce qui me fait cracher un peu de sang. Je ressue un second coup dans les côtes d'une grande force.

??? : Je t'enlève tes fonctions de CreepyHunter pendant une durée indéterminée. Disparait de ma vue avant que je ne change d'avis et que je te frappe jusqu'à ce que mort son suive.

Je ne me fais pas prier et sors de la pièce en me tenant les côtes et me dirige vers la sortie du bâtiment. Un soldat m'interpelle pour me demander comment c'est passer le rendez-vous et je lui réponds par un « mieux que je ne le penser » ce qui venant de moi veut tout dire.

Je sors du bâtiment et me dirige vers la forêt, on m'y aventurant je vis une scène qui va me remonter le moral et me divertir en même temps.

À suivre...

Creepypasta ou CreepyHunter le choix est clairOù les histoires vivent. Découvrez maintenant