Daemon

La télévision

Il est 17:15 quand je rentre chez moi ce soir. Mon père et mes frères regarde la télévision dans le salon. Je ne sait pas ce que c'est comme émission mais il y a un, je suppose, présentateur télé qui parle à un des candidats de l'émission qui pleure à chaudes larmes. Le garçon à la télé est couvert de boues et des plaies encore ouverte couvre ses avant bras ainsi que c'est cuisses. Puis, en arrière plan, une explosion retenti. Tous deux, présentateur et concurrent, sont projetés vers l'avant. L'un des deux, le présentateur, gît inerte au sol tandis que le jeune homme pousse un cri de douleur atroce qui me transperce les tympans. Puis, un homme avec un masque a gaz représentant un squelette qui me dit vaguement quelque chose entre dans la scène et tire la tête du jeune homme sans ménagement vers l'arrière, se qui lui arrache un autre cri de douleur. Puis, le soldat au masque à gaz relève un peu le chandail du jeune adulte, juste assez pour voir ses côtes, et dit:
-Alors, est ce toi le renégat, dit le soldat
-je n'ai aucune idée de qui vous parlez, répondit  avec difficulté le garçon
-NE ME PREND PAS POUR UN IDIOT! Hurla le soldat
Il regarda sous son chandail et y découvrit une grande cicatrice blanchâtre suivit d'une autre plus courte rouge sang. Le soldat murmura pour lui même mais juste assez fort pour que sa victime l'entende: « alors on essaye de me mentir, Rémy Conzuco. Et bien, tu verras le sort qu'on réserve au menteur et encore pire, au znefgade... » il attrapa les cheveux sur le dessus de la tête de Rémy et les tiras vers l'arrière dans un craquement sinistres, arrachant un cri horrible à Rémy. Puis, son corps tomba mollement sur le sol. Mort. Le soldat sorti une courte dague affûtée de sa manche et s'abaissa vers le corps du mort de Rémy Conzuco jusqu'à être à un pouce au dessus de celui ci. Il fit glisser la lame le long de la manche de son avant bras gauche, faisant bien attention de ne pas couper la chair reposant sous le tissu. Il écarta la manche de son chemin et découvrit un tatouage représentant un œil avec tout les éléments de la nature. L'élément dominant tous les autres est le feu. Puis, tout d'un coup, il enfonça sa dague dans la pupille tatouée et, à la place qu'un flot de sang s'écoule du membre mort de Rémy, une flamme bleu rugit du bras, brûlant au visage l'horrible soldat. Puis, le tatouage se sépara du corps de Rémy et s'envola, laissant derrière lui une lignée de cendres. Lors que celui ci s'arracha du bras, une douleur atroce se souleva du mien. Incapable de contrôler la douleur, je pousse un cri perçant. Puis, une voix a peine audible se soulève de la scène horrible à laquelle je suis entrain d'assister. Elle devient plus puissante, jusqu'à hurler: « James que ce passe t'il » et me tirer de ma « rêverie » si on peut l'appeler ainsi. Mon père c'est levé du divan et s'accroche si fort au dossier que c'est jointures sont devenus blanches et que le divan est craquelé de part et d'autres de sont points d'appui. Ma mère aussi ses rapproché, posant sa main protectrice sur mon épaule. Toute ma famille m'observent et me scrute d'une manière plutôt gênante et apeurante. Je tourne la tête vers la télé pour voir si celle ci diffuse toujours d'atroces images, mais je ne trouve que le présentateur et le concurrent éliminé qui pleurs encore comme un veau. J'ai rêver. C'est tout. Un genre de cauchemars éveillé. Mais il n'y a qu'une seule questions qui me trotte dans la tête, pourquoi, si c'était un rêve, j'ai clairement ressenti la douleur. Sans un mot, sous le regard interrogateur de mes parents et de ma famille, je relève la manche de mon chandails qui repose sur mon avant-bras gauche et, sous le choc, je découvre une genre de cicatrice faite de pointillés en forme d'ŒIL. Mes parents ne semble pas la remarquée mais Joël la fixe avec crainte et interrogation. J'abaisse ma manche pour que personne d'autre excepté mon frère ne remarque ma soudaine blessure.