Chapitre 1

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C'est partie pour deux mois de vacances d'été.
Mes parents sont partis en Europe depuis une semaine et ne reviennent que dans deux mois. Je suis donc seule à la maison.
J'ai trouvé un petit emploi de serveuse dans un bar le week-end pour mettre de l'argent de côté et je commence dès ce soir. Je suis un peu stressée mais j'espère que cela va bien se passer.
Il n'y a pas trop de monde ce soir. Les gens boivent, s'amusent et rient. Il y a pas mal d'étudiants qui viennent fêter le début des vacances.
Mon amie Katie est passer me voir et me souhaiter bon courage.
Je suis en train d'essuyer la vaisselle et les derniers clients commencent à s'en aller. Un homme entre dans le bar et se dirige vers le comptoir.
- Nous allons fermer! Dis je gentiment.
Il est très beau. Brun, des yeux bleus magnifique et un visage très pâle.
- Je n'ai même pas le temps de boire un petit bourbon? Demande-t-il avec un grand sourire.
Comment y résister... je regarde autour de moi pour demander l'approbation des patrons mais il n'y a personne. Je regarde l'heure. Il reste cinq minutes.
- Bon d'accord mais rapidement alors.
Je lui adresse un sourire qu'il me renvoie et lui sert un bourbon. Je me remet à ma vaisselle et je sens son regard sur moi. Je suis gênée.
- Tu es nouvelle ici? Me demande-t-il.
- Oui... depuis aujourd'hui.
Il me sourit. Ses dents sont blanches et parfaitement alignées. Il est vraiment... canon...
j'essaie de reprendre mes esprits et range ma vaisselles.
- Je suis Damon Salvatore et toi?
- Jane... Jane Prenston.
- Enchantée Jane.
Je suis de plus en plus mal à l'aise. Je devine son regard qui me dévisage et me scrute des pieds à la tête. Soudain, là patron entre dans la salle.
- Salut Damon! Dit il en le saluant.
- Salut Mike!
Bon, apparement c'est un habitué. Je risque de la croiser souvent... bien que cela ne me dérange pas vraiment.
Damon termine son verre, me salue et s'en va. Il est 2h15 et je termine mon service.
Je prend la direction de chez moi qui n'est qu'à dix minutes à pieds. Sur le chemin, j'ai l'impression d'être suivit et observé. Je me retourne plusieurs fois mais il n'y a personne. Je presse le pas et arrivée à la maison, je m'enferme à double tour et ferme les volets avant de m'allonger dans lit, épuisée par cette première soirée de travail.

Klaus Mikaelson : « le jour où j'ai croisé ton chemin » Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant