Voilà un autre livre avec des OS de Kpop. Pas original, n'est-ce pas ? Mais les histoires le sont peut-être un peu plus ! Ces OS sont des histoires naissantes de mon petit esprit de Kpop-Fan. En espérant que ça vous plaise :3 !
(K-singers et K-acto...
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Après avoir eu deux heures de chimie, je me trouvais dans la même salle de classe pour travailler, parce que mon prof n'était pas là, il était coincé dans les embouteillages. Je travaillais à mon bureau sur mon anglais quand Sungjae vint m'embêter, une fois de plus. Il y avait ce truc entre nous que tout le monde avait remarqué, mais dont personne n'osait parler. Ça me convenait ainsi ! Il s'approcha avec une pissette d'eau et m'arrosa. Je levais la tête, le dévisageant.
« Tu es sérieux ? Hurlais-je.
-Oh ça va, c'est juste de l'eau ! Me fit-il remarquer.
-Peu importe, tu fais chier, mon devoir d'anglais à baver !
-Oh tu ne vas pas faire une crise juste pour ça ? »
Je l'aimais, il fallait se l'avouer, mais parfois il agissait comme un vrai gamin. Il me regardait avec son air de dédain, me provoquant en faisant tourner la pissette d'eau dans sa main. Je me levais de mon tabouret. Lui arracha la pissette et le mouilla à son tour. Il tenta de la récupérer. Nous nous étions mis à courir dans la classe, lui derrière moi. Je rigolais bêtement comme une enfant, vérifiant qu'il n'était pas près de moi, je le vis contourner le bureau et passé trop près du pot de permanganate qui s'est ouvert sur le sol. Nous étions regardés paniqués, si le professeur le voit, il allait vous passer un savon, ce n'était pas la première fois que ce genre d'accidents arrivaient. Nous passions le plus clair de notre temps à nous chamailler. Nous Nous étions précipités sur le dérouleur de papier. Mais une seule feuille en sortit.
« Qu'est ce qu'on va faire, il n'y a plus de papier ? Stressais-je. »
Il me regarda dans les yeux. Ne sachant pas ce qu'il contait faire j'étais réticente à l'idée qu'il lui passait par la tête.
« Tant pis, petit pull !
-Attends, quoi ? Fis-je effarée. »
Il retira son seul pull, il était à présent en train de frotter le sol, torse nu, pour enlever le permanganate. Je le fixais, à moitié sidérée par ce qu'il faisait, à moitié amusée par la situation. Nous entendions, le professeur arrivé. Je lui lançais ma veste en jean et récupéra son pull pour le jeter vers ma paillasse. Nous avions remis le pot sur la table comme si de rien n'était. Il avait enfilé la veste qui était trop petite pour lui et son pull se retrouvait à présent à mes pieds.
« Excusez-moi du retard, s'excusa votre professeur d'anglais. »
À la fin des cours, il me vint une idée. Nous allions rentrer à pied, je lui demandais mee suivre. Il avait toujours ma veste, et me suivait en gémissant.
« Mais tu es chiante, je voulais rentrer chez moi. »
Je ne répondis rien, et l'emmenais chez toi.
« Maman, je suis rentrée ! J'ai besoin de ton aide vu que tu es chimiste.
-Oui, qu'est ce qu'il y a ? Oh bonjour, Sungjae comment vas-tu ?
-Il a eu un petit souci en cours, j'ai besoin de ton aide, tu pourras faire partir les taches de permanganate ?
-Oh mon dieu, mais qu'est ce que vous avez fait avec ce pauvre pull ?
-C'est une longue histoire !
-Bon avec le détachant aux enzymes, tout devrait rentrer dans l'ordre.»
Quelques heures plus tard, ma mère rendit le fameux pull propre, sans permanganate dessus. Nous étions rendus dans la rue. Il allait enfin partir.
« Merci pour tout, espèce d'idiote.
-Oh tu vas te calmer, d'ailleurs, rends-moi ma veste ! »
Une fois de plus, il enleva ma veste, je regardais sur le côté. Pour éviter son regard. Il enfila ses affaires, il te tendit ta veste.
« Encore merci, je m'amuse bien avec toi, te lâcha-t-il. »
Il posa sa main sur mon épaule, et déposa ses lèvres sur les miennes. Qu'est ce qu'il venait de se passer ?
« Et puis je t'aime bien, aussi, sourit-il adorablement. »
Je me rapprochais de lui, lui déposant un baiser chaste sur les lèvres. Puis en me retournant, je me pris la rambarde dans la cuisse. Ce qui fit naître un rire bruyant, il te fit un signe de la main avant que nous rentrions tous les deux chez nous.
