Voilà un autre livre avec des OS de Kpop. Pas original, n'est-ce pas ? Mais les histoires le sont peut-être un peu plus ! Ces OS sont des histoires naissantes de mon petit esprit de Kpop-Fan. En espérant que ça vous plaise :3 !
(K-singers et K-acto...
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Bon, résumons la situation ! Je me retrouvais enfermé dans un placard face à mon patron, un peu trop proche. Pourtant, tout avait si bien commencé, enfin presque. J'étais devenu l'assistante d'un détective un peu excentrique, nommé Kim Taehyung, et connu dans le milieu. Donc, on s'était retrouvé ainsi, parce MONSIEUR a voulu enquêté sur un gang de grande envergure et nous nous trouvâmes dans le bureau du big boss pour trouvez quelques papiers sur la disparition d'une jeune fille. Nous pouvions à peine voir les hommes qui saccageaient le bureau, à travers les fentes du placard. Je le trouvais carrément sexy avec ses petites lunettes rondes et son nœud papillon rouge. Attendez, venais-je vraiment de penser, ça ? Mais étant allergique à la poussière, je m'apprêtais à éternuer. Taehyung l'ayant vu me pinça le nez, mais j'échappais un petit bruit.
« C'était quoi ça ? S'énerva l'un des hommes. »
Nous nous étions regardé paniquer à l'idée qu'ils nous trouvent. Mais l'un deux ouvrit le placard et me tira par les cheveux.
« Lâche-moi, sale con ! »
Je me débâtais, tant bien que mal, sur le sol. Avant que Taehyung ne tente quelque chose.
« Vous devriez vraiment la lâcher, avant que je ne vous casse la figure ! »
Il n'y avait plus aucun bruit, tout le monde le fixait y compris moi. J'étais atterré c'était carrément stupide ce qu'il venait de faire. Le bras de ton agresseur, était prêt de moi, je le mordis, sans hésiter, pour me défaire de son emprise.
« Oh la garce ! »
Taehyung commença à frapper les hommes, je me relevais et fis de même. Sauf qu'avec mon petit gabarit, j'avais beaucoup plus de mal. Celui qui m'avait tiré par les cheveux m'attrapa par la nuque. Je n'arrivais presque plus à respirer. La main de Taehyung s'écrasa sur la mâchoire de l'homme.
« Ah ça fait plus mal que je pensais ! Se tordit-il de douleur en secouant sa main. »
Je m'approchais de lui en rampant tel un animal sonné, je devais l'avouer.
« Un des voisins a appelé les flics ! Vient on dégage vite, d'ici ! »
Ils se sont tous mis à courir vers les escaliers, nous laissant seuls tous les deux.
« Mais tu es vraiment trop con parfois ! Commençais-je.
-Mais comment tu me parles ? Et en plus, c'était pour t'aider !
-Oui, bah merci, mais regarde ta main, elle a enflée. Il devait avoir une sacrée mâchoire. »
Il se mit à bouder dans son coin. Je lui pris la main, frottant doucement mes doigts dessus. J'avais mis mes deux mains autour de la sienne.
« Qu'est ce que tu fais ? Dit-il gêné.
-Ri...rien, bégayais-je. »
J'enlevais mes mains un peu déçue qu'il me repousse de cette manière.
« Excuse-moi !
-De ? Lui demandais-je atterrée. »
Il se releva pour se mettre à genoux et donc à mes côtés.
« Tu étais trop cool, quand tu t'es mis à les frapper, changea-t-il de sujet. »
Ce n'était pas vraiment ce que j'attendais, mais je repris tout de même la conversation. Il semblait vraiment lunatique parfois.
« Tu as vu ! Quand je l'ai saisi par le t-shirt et que je l'ai mis par terre !
-Attends ce n'est pas ce qu'on cherchait ? Pointa-t-il du doigt un petit dossier crasseux.»
Je me ruais près du dossier juste à côté de lui. C'était bien ce que nous cherchions. Nous nous tournions l'un vers l'autre, nos visages étaient très proches. Je n'avais qu'une envie que je repressais, je savais pertinemment que lui ne me voyait que comme son assistante... Et pourtant, il rapprocha son visage du mien. Il déposa ses lèvres sur les miennes, tout doucement. C'était une sensation des plus agréables. Jusqu'à ce qu'un policier nous interrompe.
« Encore vous, détective Kim ? Vous fourrez toujours votre nez là où il ne faut pas !
-Oui, peut-être, mais en attendant, on a trouvé votre preuve, ajouta-t-il en lançant le dossier à l'agent de police. »
Il me tendit la main tout en commençant à partir du bureau. Finalement cette après-midi, n'avais pas été en vain.
