Chapitre 6: Enculé!

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J'ai été découverte!

Comment ils ont fais?!

Mais plus important!

Les 2 hommes pointant leur armes vers moi, certe.

Mais Rei est là aussi! Je dois le protéger!

Je me tourne pour le couvrir d'éventuel coup.

Je met rapidement et discrètement une main sur son cœur.

Il bat encore...

Ça me rassure...

Il semblerai qu'ils l'ont juste assommer.

Mais que faire maintenant?

Je n'ai aucune issues...

Je pourrai m'échapper par la mer, ces bâtards ne pourrons pas nous suivre, mais Rei ne peux pas respirer sous l'eau.

Avec un sourire, le scientifique s'adresse a moi.

Pourquoi j'aime pas son sourire? Je me le demande bien...

Scientifique: suivez nous Mlle je vous prie
Ayumi: et si je refuse?
Scientifique: je ne pense pas que vous ayez le choix

Sale enfoiré!

Le mec me dit ça avec un gros sourire!

Mais n'ai pas le choix si je veux sauver Rei.

Je vais devoir le suivre...

Mais s'il croit que je vais les suivre bien gentiment, il se fourre le doigt dans l'œil!

Ayumi: a une condition, laissez le partir sain et sauf et ne dite a personne qu'il est là
Scientifique: très bien

Quoi? Je ne m'attendais pas a ce qu'il accepte aussi vite.

Rei n'est il pas aussi rechercher?

Scientifique: mais pourquoi faites vous cette tête? Je respecterais votre condition, alors qu'attendez vous? Sortez de l'eau
Ayumi: éloignez vous d'abord
Scientifique: pourquoi ça?
Ayumi: je ne vous fais pas confiance
Scientifique: comme vous voudrez

Après qu'il s'est suffisamment éloigné, je sors Rei de l'eau, puis sort a mon tour et reprend mon apparence d'humaine.

Scientifique: oh magnifique! Vous avez une queue! Où sont passer vos ailes? Vous pouvez vous transformer a volonté?!

Je le foudroie du regard.

Genre je vais te répondre mec, t'a trop cru!

Je place Rei toujours inconscient, sur le dos et le couvre de la couverture qu'on avait apporter.

Je lui prend la main et m'excuse de partir sans prévenir, avant d'aller rejoindre ces enculés.

Ils me passent les menottes, j'ai limite l'impression d'avoir tuer quelqu'un.

Nous traversons le village pour rejoindre leur moyen de transport.

Le villageois me hurlent dessus comme des bêtes sauvages, ils m'envoient toute sorte de chose dans la gueule.

Mais les mots qu'ils me disent, me font bien plus mal.

"C'est la fille ailé!"

"Monstre!"

"Sale voleuse!"

"Dégage de là! Tu nous porte malheur"!

"Va creuver"!

Tri-espèce (réécriture en cours)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant